Pourquoi étudier le Moyen Age ?. Les médiévistes face aux usages sociaux du passé
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- Nombre de pages260
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.394 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-85944-694-9
- EAN9782859446949
- Date de parution20/04/2012
- CollectionHistoire ancienne et médiévale
- ÉditeurPublications de la Sorbonne
Résumé
Le Moyen Age est l'objet de nombreuses célébrations collectives, tant en Europe que dans des pays qui n'ont aucune relation historique directe avec la société médiévale. Sa présence dans la formation des enseignants d'histoire, comme l'existence d'un corps de médiévistes soigneusement formés font l'objet de remises en cause qui sont fondées, de manière latente ou officielle, sur l'idée de l'inutilité des études médiévales.
Par ailleurs, et de manière apparemment contradictoire, la connaissance de la société médiévale est parfois envisagée sous un angle utilitariste, afin de définir les racines de la civilisation occidentale contemporaine. A l'heure où ces attitudes se rencontrent au sein même du monde universitaire, il a semblé nécessaire de réfléchir à leurs présupposés et à leurs conséquences intellectuelles, institutionnelles et sociales.
Au-delà de la réflexion sur l'utilité/inutilité de l'histoire, les auteurs de cet ouvrage cherchent à préciser les relations entretenues, consciemment ou non, entre le Moyen Age et la société et la manière dont elles construisent nos rapports au passé, présent et futur. Ils envisagent également la place des études de la société médiévale dans la dynamique des sciences sociales et ses relations avec les attentes du public.
Le présent ouvrage est le résultat d'une réflexion collective engagée à l'université de Sao Paulo en mai 2008 à laquelle ont collaboré des historiens implantés en France, au Brésil, au Canada et en Israël, soit des pays où l'étude de la société médiévale n'a ni le même sens ni la même légitimité.
Par ailleurs, et de manière apparemment contradictoire, la connaissance de la société médiévale est parfois envisagée sous un angle utilitariste, afin de définir les racines de la civilisation occidentale contemporaine. A l'heure où ces attitudes se rencontrent au sein même du monde universitaire, il a semblé nécessaire de réfléchir à leurs présupposés et à leurs conséquences intellectuelles, institutionnelles et sociales.
Au-delà de la réflexion sur l'utilité/inutilité de l'histoire, les auteurs de cet ouvrage cherchent à préciser les relations entretenues, consciemment ou non, entre le Moyen Age et la société et la manière dont elles construisent nos rapports au passé, présent et futur. Ils envisagent également la place des études de la société médiévale dans la dynamique des sciences sociales et ses relations avec les attentes du public.
Le présent ouvrage est le résultat d'une réflexion collective engagée à l'université de Sao Paulo en mai 2008 à laquelle ont collaboré des historiens implantés en France, au Brésil, au Canada et en Israël, soit des pays où l'étude de la société médiévale n'a ni le même sens ni la même légitimité.
Le Moyen Age est l'objet de nombreuses célébrations collectives, tant en Europe que dans des pays qui n'ont aucune relation historique directe avec la société médiévale. Sa présence dans la formation des enseignants d'histoire, comme l'existence d'un corps de médiévistes soigneusement formés font l'objet de remises en cause qui sont fondées, de manière latente ou officielle, sur l'idée de l'inutilité des études médiévales.
Par ailleurs, et de manière apparemment contradictoire, la connaissance de la société médiévale est parfois envisagée sous un angle utilitariste, afin de définir les racines de la civilisation occidentale contemporaine. A l'heure où ces attitudes se rencontrent au sein même du monde universitaire, il a semblé nécessaire de réfléchir à leurs présupposés et à leurs conséquences intellectuelles, institutionnelles et sociales.
Au-delà de la réflexion sur l'utilité/inutilité de l'histoire, les auteurs de cet ouvrage cherchent à préciser les relations entretenues, consciemment ou non, entre le Moyen Age et la société et la manière dont elles construisent nos rapports au passé, présent et futur. Ils envisagent également la place des études de la société médiévale dans la dynamique des sciences sociales et ses relations avec les attentes du public.
Le présent ouvrage est le résultat d'une réflexion collective engagée à l'université de Sao Paulo en mai 2008 à laquelle ont collaboré des historiens implantés en France, au Brésil, au Canada et en Israël, soit des pays où l'étude de la société médiévale n'a ni le même sens ni la même légitimité.
Par ailleurs, et de manière apparemment contradictoire, la connaissance de la société médiévale est parfois envisagée sous un angle utilitariste, afin de définir les racines de la civilisation occidentale contemporaine. A l'heure où ces attitudes se rencontrent au sein même du monde universitaire, il a semblé nécessaire de réfléchir à leurs présupposés et à leurs conséquences intellectuelles, institutionnelles et sociales.
Au-delà de la réflexion sur l'utilité/inutilité de l'histoire, les auteurs de cet ouvrage cherchent à préciser les relations entretenues, consciemment ou non, entre le Moyen Age et la société et la manière dont elles construisent nos rapports au passé, présent et futur. Ils envisagent également la place des études de la société médiévale dans la dynamique des sciences sociales et ses relations avec les attentes du public.
Le présent ouvrage est le résultat d'une réflexion collective engagée à l'université de Sao Paulo en mai 2008 à laquelle ont collaboré des historiens implantés en France, au Brésil, au Canada et en Israël, soit des pays où l'étude de la société médiévale n'a ni le même sens ni la même légitimité.