Pourquoi être heureux quand on peut être normal ?

Par : Jeanette Winterson
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  • Nombre de pages276
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.298 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-87929-870-2
  • EAN9782879298702
  • Date de parution03/05/2012
  • ÉditeurEditions de l'Olivier
  • TraducteurCéline Leroy

Résumé

Pourquoi être heureux quand on peut être normal ? Etrange question, à laquelle Jeanette Winterson répond en menant une existence en forme de combat. Dès l'enfance, il faut lutter : contre une mère adoptive sévère, qui s'aime peu et ne sait pas aimer. Contre les diktats religieux ou sociaux. Et pour trouver sa voie. Ce livre est une autobiographie guidée par la fantaisie et la férocité, mais c'est surtout l'histoire d'une quête, celle du bonheur.
"La vie est faite de couches, elle est fluide, mouvante, fragmentaire", dit Jeanette Winterson. Pour cette petite fille surdouée issue du prolétariat de Manchester, l'écriture est d'abord ce qui sauve. En racontant son histoire, Jeanette Winterson adresse un signe fraternel à toutes celles - et à tous ceux - pour qui la liberté est à conquérir.
Pourquoi être heureux quand on peut être normal ? Etrange question, à laquelle Jeanette Winterson répond en menant une existence en forme de combat. Dès l'enfance, il faut lutter : contre une mère adoptive sévère, qui s'aime peu et ne sait pas aimer. Contre les diktats religieux ou sociaux. Et pour trouver sa voie. Ce livre est une autobiographie guidée par la fantaisie et la férocité, mais c'est surtout l'histoire d'une quête, celle du bonheur.
"La vie est faite de couches, elle est fluide, mouvante, fragmentaire", dit Jeanette Winterson. Pour cette petite fille surdouée issue du prolétariat de Manchester, l'écriture est d'abord ce qui sauve. En racontant son histoire, Jeanette Winterson adresse un signe fraternel à toutes celles - et à tous ceux - pour qui la liberté est à conquérir.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.9/5
sur 13 notes dont 4 avis lecteurs
2/5
Déroutée
J'étais plutôt séduite par le synopsis et très vite j'ai ressenti un malaise en lisant ce récit. L'histoire de Jeannette est dure, enfant mal traitée, pas aimée dans une famille dont la mère adoptive frise la folie. Est-ce la façon dont l'auteur raconte son enfance ? mais j'ai eu de réelles difficultés à accrocher et à compatir. J'ai hésité à arrêter la lecture en cours de route mais c'est une chose que je n'aime pas : un sentiment d'inachevé. J'ai donc terminé le livre. J'ai persévéré et trouvé enfin dans les 40 dernières pages quelques notes d'espoir et d'amour. Malgré tout il me reste un goût amer que je ne peux expliquer.
J'étais plutôt séduite par le synopsis et très vite j'ai ressenti un malaise en lisant ce récit. L'histoire de Jeannette est dure, enfant mal traitée, pas aimée dans une famille dont la mère adoptive frise la folie. Est-ce la façon dont l'auteur raconte son enfance ? mais j'ai eu de réelles difficultés à accrocher et à compatir. J'ai hésité à arrêter la lecture en cours de route mais c'est une chose que je n'aime pas : un sentiment d'inachevé. J'ai donc terminé le livre. J'ai persévéré et trouvé enfin dans les 40 dernières pages quelques notes d'espoir et d'amour. Malgré tout il me reste un goût amer que je ne peux expliquer.
  • Crispant
enfance, famille
Jeanette écrit à la façon des petits papiers qu'il reste des livres que sa mère adoptive a fait brûler. Croyante convaincue, il ne devait y avoir dans sa maison que la Bible. Alors quand Jeanette introduit de la littérature anglaise, sa mère, Mrs W, décide de les brûler. Il n'en restera que des bouts de récits divers. L'auteure écrit comme ceci, c'est à dire qu'il ne faut pas attendre une narration rectiligne. Elle élipse, revient sur un épisode, coupe ses paragraphes pour ne pas avoir à les finir. Au départ, le récit tourne un peu en rond autour de son précédent roman (que je n'ai pas lu) "Les oranges ne sont pas les seuls fruits" qui a connu un immense succès en Angleterre. Puis l'auteure arrive à prendre le large, et le livre reprend souffle. Ouf.... Je ne suis malgré tout pas convaincue par ce roman. A cause essentiellement de sa forme. L'image que je retiendrai : Celle d'une petite fille obligée de dormir sur le pas de la porte, la nuit.
Jeanette écrit à la façon des petits papiers qu'il reste des livres que sa mère adoptive a fait brûler. Croyante convaincue, il ne devait y avoir dans sa maison que la Bible. Alors quand Jeanette introduit de la littérature anglaise, sa mère, Mrs W, décide de les brûler. Il n'en restera que des bouts de récits divers. L'auteure écrit comme ceci, c'est à dire qu'il ne faut pas attendre une narration rectiligne. Elle élipse, revient sur un épisode, coupe ses paragraphes pour ne pas avoir à les finir. Au départ, le récit tourne un peu en rond autour de son précédent roman (que je n'ai pas lu) "Les oranges ne sont pas les seuls fruits" qui a connu un immense succès en Angleterre. Puis l'auteure arrive à prendre le large, et le livre reprend souffle. Ouf.... Je ne suis malgré tout pas convaincue par ce roman. A cause essentiellement de sa forme. L'image que je retiendrai : Celle d'une petite fille obligée de dormir sur le pas de la porte, la nuit.
  • Crispant
Déçue et déroutée.
Je n'ai pas du tout été séduite par ce livre. Pourtant le postulat de départ m'a beaucoup intéressée : une fille martyrisée par sa mère toxique, s'en sort dans la vie grâce à la lecture. J'ai d'ailleurs été horrifiée par les agissement de la mère, notamment lors de la scène de l'autodafé des livres dans le jardin. Mais, voilà, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout abandonnant le roman en plein milieu ; peut-être est-ce le style d'écriture qui m'a déroutée, je ne saurai dire.
Je n'ai pas du tout été séduite par ce livre. Pourtant le postulat de départ m'a beaucoup intéressée : une fille martyrisée par sa mère toxique, s'en sort dans la vie grâce à la lecture. J'ai d'ailleurs été horrifiée par les agissement de la mère, notamment lors de la scène de l'autodafé des livres dans le jardin. Mais, voilà, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout abandonnant le roman en plein milieu ; peut-être est-ce le style d'écriture qui m'a déroutée, je ne saurai dire.
  • Inattendu
  • XXe siècle
  • Angleterre
  • Choquant
  • relations mère-fille
  • mère toxique
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