Pour une autre lecture du Coran. Les voix du Verset
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- Nombre de pages140
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-296-99439-3
- EAN9782296994393
- Date de parution20/12/2012
- CollectionBibliothèque de l'iReMMO
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'expression orale, entendue, relève d'un traitement différent de celui que nous appliquons au texte fixé par écrit sur un support visible. La parole, contrairement à l'écriture, ne se soumet pas à un schéma linéaire et visuel, comme ont tendance à le présenter la plupart des spécialistes des textes sacrés, et notamment ceux du Coran dans le monde arabo-musulman, traducteurs et chercheurs contemporains compris.
Elle est de ce fait ouverte sur plusieurs directions, sans que s'impose pour autant celle qui conduit insensiblement à la mise par écrit. Il est d'ailleurs difficile de trouver, chez la plupart de ces spécialistes, une appréciation de l'oralité comme réalité linguistique à part entière. Pour diverses raisons, ils se sont souvent sentis liés par ta tradition musulmane qui relève d'un moment d'écriture.
Or, un des principes fondateurs est que lorsque cette parole a été prononcée pour la première fois, elle a dû être saisie dans son immédiateté. Les auditeurs de Muhammad n'avaient pas besoin d'exégètes ni d'autres savants pour comprendre ce qu'il exprimait.
Elle est de ce fait ouverte sur plusieurs directions, sans que s'impose pour autant celle qui conduit insensiblement à la mise par écrit. Il est d'ailleurs difficile de trouver, chez la plupart de ces spécialistes, une appréciation de l'oralité comme réalité linguistique à part entière. Pour diverses raisons, ils se sont souvent sentis liés par ta tradition musulmane qui relève d'un moment d'écriture.
Or, un des principes fondateurs est que lorsque cette parole a été prononcée pour la première fois, elle a dû être saisie dans son immédiateté. Les auditeurs de Muhammad n'avaient pas besoin d'exégètes ni d'autres savants pour comprendre ce qu'il exprimait.
L'expression orale, entendue, relève d'un traitement différent de celui que nous appliquons au texte fixé par écrit sur un support visible. La parole, contrairement à l'écriture, ne se soumet pas à un schéma linéaire et visuel, comme ont tendance à le présenter la plupart des spécialistes des textes sacrés, et notamment ceux du Coran dans le monde arabo-musulman, traducteurs et chercheurs contemporains compris.
Elle est de ce fait ouverte sur plusieurs directions, sans que s'impose pour autant celle qui conduit insensiblement à la mise par écrit. Il est d'ailleurs difficile de trouver, chez la plupart de ces spécialistes, une appréciation de l'oralité comme réalité linguistique à part entière. Pour diverses raisons, ils se sont souvent sentis liés par ta tradition musulmane qui relève d'un moment d'écriture.
Or, un des principes fondateurs est que lorsque cette parole a été prononcée pour la première fois, elle a dû être saisie dans son immédiateté. Les auditeurs de Muhammad n'avaient pas besoin d'exégètes ni d'autres savants pour comprendre ce qu'il exprimait.
Elle est de ce fait ouverte sur plusieurs directions, sans que s'impose pour autant celle qui conduit insensiblement à la mise par écrit. Il est d'ailleurs difficile de trouver, chez la plupart de ces spécialistes, une appréciation de l'oralité comme réalité linguistique à part entière. Pour diverses raisons, ils se sont souvent sentis liés par ta tradition musulmane qui relève d'un moment d'écriture.
Or, un des principes fondateurs est que lorsque cette parole a été prononcée pour la première fois, elle a dû être saisie dans son immédiateté. Les auditeurs de Muhammad n'avaient pas besoin d'exégètes ni d'autres savants pour comprendre ce qu'il exprimait.