Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Conçu comme un dictionnaire, ce volume recense près de 150 entrées qui, insolites ou amusantes, excitent l'esprit et provoquent des éclats de rire....
Lire la suite
Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Conçu comme un dictionnaire, ce volume recense près de 150 entrées qui, insolites ou amusantes, excitent l'esprit et provoquent des éclats de rire. De chaque page déferle une vague de "mots " plus savoureux les uns que les autres, assaisonnés d'un grain de cynisme :
Aphorismes : " La laideur a ceci de supérieur à la beauté, c'est qu'elle dure " (Lichtenberg, repris par S. Gainsbourg).
Epitaphes : " Je vous l'avais bien dit que j'étais malade " (anonyme).
Fin (mot de la) : " Eh bien ! je m'en souviendrai de cette planète ! " (Villiers de Lisle-Adam).
Graffiti : " Sauvez un arbre, tuez un castor ".
Mariage : " Le mariage est une si belle chose qu'il faut y penser toute la vie " (Talleyrand).
Paradoxes : " Je ne suis pas toujours de mon avis " (P. Valéry).
Proverbes : " Avec patience et crachat, on fait entrer un pépin de calebasse dans le derrière d'un moustique " (créole) ; ou encore : " La douleur embellit l'écrevisse " (russe).
Sottises (littéraire) : " La main de cet homme était froide comme celle d'un serpent " (Ponson du Terrail) ; (radiophonique) : " Au garde à vous sur le tapis rouge déployé à ses pieds, le président congolais ressemblait à un roman de Stendhal " ; (cinématographique) : " Pour moi, un contrat verbal ne vaut même pas le papier sur lequel il est rédigé " (S. Goldwin).
Une invitation à la bonne humeur...
Guy Schoeller