Pour relancer le Congo. La politique du possible

Par : Cyriaque Magloire Mongo Dzon

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages151
  • PrésentationBroché
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-296-04434-0
  • EAN9782296044340
  • Date de parution01/10/2007
  • CollectionPoints de vue
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Il n'y a pas de fatalité politique congolaise ou africaine, il y a que notre mode de gouvernement et notre manière de faire la politique sont catastrophiques. La manière d'organiser et d'exercer le pouvoir dans notre pays n'a pas permis la satisfaction de l'intérêt général. Cette manière a échoué parce qu'elle n'a suscité, à l'intérieur, que pauvreté, humiliation, désespoir et colère, à l'extérieur, désolation et mépris.
Constater ces échecs ne suffit plus. Il faut en déterminer les causes. Les pistes existent, non pas d'espoirs et de changements par des slogans, mais de traçage des contours d'une politique du possible qui sauve l'un des cas de figure de ces pays d'Afrique qui n'avancent pas mais régressent lamentablement. Le défi à relever est de remettre le Congolais au cœur des préoccupations afin de changer l'ordre des choses.
Une politique rénovée et engagée peut produire le Congolais et l'Africain qu'il faut pour une relance effective et le mettre en situation de décider du changement en remettant en cause les clichés jeunes-vieux, intellectuels, élites, etc. et en recourant aux potentialités de la diaspora, des syndicats, des associations, des mécènes, etc. Au-delà de ces propositions de pistes et de méthodes, nous avons intérêt à revisiter objectivement et avec force critiques ce qui a été jusque-là l'art de faire de la politique dans le tiers-monde.
Il n'y a pas de fatalité politique congolaise ou africaine, il y a que notre mode de gouvernement et notre manière de faire la politique sont catastrophiques. La manière d'organiser et d'exercer le pouvoir dans notre pays n'a pas permis la satisfaction de l'intérêt général. Cette manière a échoué parce qu'elle n'a suscité, à l'intérieur, que pauvreté, humiliation, désespoir et colère, à l'extérieur, désolation et mépris.
Constater ces échecs ne suffit plus. Il faut en déterminer les causes. Les pistes existent, non pas d'espoirs et de changements par des slogans, mais de traçage des contours d'une politique du possible qui sauve l'un des cas de figure de ces pays d'Afrique qui n'avancent pas mais régressent lamentablement. Le défi à relever est de remettre le Congolais au cœur des préoccupations afin de changer l'ordre des choses.
Une politique rénovée et engagée peut produire le Congolais et l'Africain qu'il faut pour une relance effective et le mettre en situation de décider du changement en remettant en cause les clichés jeunes-vieux, intellectuels, élites, etc. et en recourant aux potentialités de la diaspora, des syndicats, des associations, des mécènes, etc. Au-delà de ces propositions de pistes et de méthodes, nous avons intérêt à revisiter objectivement et avec force critiques ce qui a été jusque-là l'art de faire de la politique dans le tiers-monde.