Pour libérer l'Evangile
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Nombre de pages130
- PrésentationBroché
- Poids0.22 kg
- Dimensions14,5 cm × 23,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-204-08991-3
- EAN9782204089913
- Date de parution08/10/2009
- CollectionThéologies
- ÉditeurCerf
Résumé
Pour des catholiques contemporains qui ont découvert ce qu'est vraiment l'Evangile, l'image publique de leur Eglise est à cent lieues de ce qu'ils vivent. En même temps, le christianisme, religion de l'Occident qui a en partie colonisé la planète, se trouve aujourd'hui en concurrence avec les autres grandes religions universalistes, et quasiment stoppé dans son expansion, y compris dans sa branche la plus nombreuse, le catholicisme romain.
D'où la question : l'Evangile n'est-il pas prisonnier de son passé de chrétienté ? Est-il pensable de le débarrasser des formes stéréotypées prises par son langage officiel et par les institutions dont il s'est doté au cours des siècles ? Ou au moins de faire voir que, même dans des cadres strictement contrôlés, de larges marges de liberté existent pour la recherche, la créativité, l'invention de nouvelles formes d'expression et de pratiques ? Peut-on parler de Jésus de Nazareth d'une manière autre que les conciles des IVe et Ve siècles ? Peut-on multiplier les pratiques démocratiques dans l'Église ? Peut-on cesser d'être culturellement décalé ? L'enjeu, c'est la possibilité pour la " joyeuse nouvelle " qu'est l'Evangile de rejoindre vraiment " toutes les nations " auxquelles il est en principe destiné.
A la limite, est-il pensable aujourd'hui d'être non seulement un juif chrétien (ce qui n'a rien de neuf), mais également un hindou chrétien, un bouddhiste chrétien, un musulman chrétien, voire même un agnostique chrétien ? Et ce message est-il, aujourd'hui encore, capable de transformer la vie des individus, et aussi d'influencer la marche des sociétés ? Peut-on libérer l'Évangile ?
D'où la question : l'Evangile n'est-il pas prisonnier de son passé de chrétienté ? Est-il pensable de le débarrasser des formes stéréotypées prises par son langage officiel et par les institutions dont il s'est doté au cours des siècles ? Ou au moins de faire voir que, même dans des cadres strictement contrôlés, de larges marges de liberté existent pour la recherche, la créativité, l'invention de nouvelles formes d'expression et de pratiques ? Peut-on parler de Jésus de Nazareth d'une manière autre que les conciles des IVe et Ve siècles ? Peut-on multiplier les pratiques démocratiques dans l'Église ? Peut-on cesser d'être culturellement décalé ? L'enjeu, c'est la possibilité pour la " joyeuse nouvelle " qu'est l'Evangile de rejoindre vraiment " toutes les nations " auxquelles il est en principe destiné.
A la limite, est-il pensable aujourd'hui d'être non seulement un juif chrétien (ce qui n'a rien de neuf), mais également un hindou chrétien, un bouddhiste chrétien, un musulman chrétien, voire même un agnostique chrétien ? Et ce message est-il, aujourd'hui encore, capable de transformer la vie des individus, et aussi d'influencer la marche des sociétés ? Peut-on libérer l'Évangile ?
Pour des catholiques contemporains qui ont découvert ce qu'est vraiment l'Evangile, l'image publique de leur Eglise est à cent lieues de ce qu'ils vivent. En même temps, le christianisme, religion de l'Occident qui a en partie colonisé la planète, se trouve aujourd'hui en concurrence avec les autres grandes religions universalistes, et quasiment stoppé dans son expansion, y compris dans sa branche la plus nombreuse, le catholicisme romain.
D'où la question : l'Evangile n'est-il pas prisonnier de son passé de chrétienté ? Est-il pensable de le débarrasser des formes stéréotypées prises par son langage officiel et par les institutions dont il s'est doté au cours des siècles ? Ou au moins de faire voir que, même dans des cadres strictement contrôlés, de larges marges de liberté existent pour la recherche, la créativité, l'invention de nouvelles formes d'expression et de pratiques ? Peut-on parler de Jésus de Nazareth d'une manière autre que les conciles des IVe et Ve siècles ? Peut-on multiplier les pratiques démocratiques dans l'Église ? Peut-on cesser d'être culturellement décalé ? L'enjeu, c'est la possibilité pour la " joyeuse nouvelle " qu'est l'Evangile de rejoindre vraiment " toutes les nations " auxquelles il est en principe destiné.
A la limite, est-il pensable aujourd'hui d'être non seulement un juif chrétien (ce qui n'a rien de neuf), mais également un hindou chrétien, un bouddhiste chrétien, un musulman chrétien, voire même un agnostique chrétien ? Et ce message est-il, aujourd'hui encore, capable de transformer la vie des individus, et aussi d'influencer la marche des sociétés ? Peut-on libérer l'Évangile ?
D'où la question : l'Evangile n'est-il pas prisonnier de son passé de chrétienté ? Est-il pensable de le débarrasser des formes stéréotypées prises par son langage officiel et par les institutions dont il s'est doté au cours des siècles ? Ou au moins de faire voir que, même dans des cadres strictement contrôlés, de larges marges de liberté existent pour la recherche, la créativité, l'invention de nouvelles formes d'expression et de pratiques ? Peut-on parler de Jésus de Nazareth d'une manière autre que les conciles des IVe et Ve siècles ? Peut-on multiplier les pratiques démocratiques dans l'Église ? Peut-on cesser d'être culturellement décalé ? L'enjeu, c'est la possibilité pour la " joyeuse nouvelle " qu'est l'Evangile de rejoindre vraiment " toutes les nations " auxquelles il est en principe destiné.
A la limite, est-il pensable aujourd'hui d'être non seulement un juif chrétien (ce qui n'a rien de neuf), mais également un hindou chrétien, un bouddhiste chrétien, un musulman chrétien, voire même un agnostique chrétien ? Et ce message est-il, aujourd'hui encore, capable de transformer la vie des individus, et aussi d'influencer la marche des sociétés ? Peut-on libérer l'Évangile ?