Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"Pour l'honneur de nos patois"... Line Perrier développe dans la revue L'Histoire en Savoie un plaidoyer pour la survie des patois, pivots d'un héritage...
Lire la suite
5,49 €
Neuf
Expédié sous 6 à 12 jours
Livré chez vous entre le 26 avril et le 3 mai
En librairie
Résumé
"Pour l'honneur de nos patois"... Line Perrier développe dans la revue L'Histoire en Savoie un plaidoyer pour la survie des patois, pivots d'un héritage culturel et identitaire savoyard. Mais le plaidoyer est aussi analyse historique de la constitution d'un système linguistique et des procédures enclenchant sa contestation avant l'acte de foi dans une permanence qui demeure hypothétique.
Qui connaît Giovanni Battista De Gubernatis qui a peint la Savoie avec talent et amour en 1828, juste avant les premières atteintes de la révolution industrielle ? Symbole de la fraternité trop longtemps niée entre le Piémont et la Savoie, De Gubernatis mérite mieux que l'oubli dans lequel il est tombé en Piémont et que l'indifférence que lui ont vouée les Savoyards. Ce brillant aquarelliste, romantique et moderne en même temps, a été un des meilleurs peintres des États de Savoie au début du XIXe siècle. Il n'est que justice de lui rendre enfin l'audience qu'il mérite en dépassant l'éloignement de la Galerie d'art moderne de Turin où ses œuvres sont conservées. C'est la fierté de L'Histoire en Savoie de reproduire en couleurs dans ce numéro exceptionnel trente images de la Savoie de 1828, précédées d'une introduction d'André
Palluel-Guillard.