Pour en finir avec le "péché originel" ?. Exploration théologique et pastorale
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- Nombre de pages281
- PrésentationBroché
- Poids0.557 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-87356-665-4
- EAN9782873566654
- Date de parution11/09/2015
- CollectionPetits traités
- ÉditeurFidélité
Résumé
Beaucoup réclament aujourd'hui une révision de la doctrine catholique du "péché originel", certains préconisent son abandon pur et simple, d'autres estiment que le mieux est de n'en plus parler, tandis que quelques-uns voudraient au contraire la réhabiliter. Le moins qu'on puisse dire est que cet enseignement fait problème, aussi bien en catéchèse que dans la prédication ou en théologie. Le magistère lui-même paraît embarrassé pour en rendre compte.
D'un autre côté, on ne voit pas comment on pourrait se passer d'une doctrine qui tente de répondre à des questions lancinantes, permanentes, incontournables. D'où vient le mal ? Le mal que nous subissons malgré nous, notamment la souffrance et la mort, mais aussi le mal que nous commettons, le péché, parfois avec tant de cruauté. Le Dieu bon et tout-puissant, auquel nous croyons, peut-il "permettre" cela, s'en accommoder ? L'annonce de l'évangile - Bonne nouvelle ! - n'est-elle pas plombée d'avance par la mauvaise nouvelle d'un "péché originel" dont nous serions tous les héritiers sans en être nullement coupables ni responsables ? Ce qu'on va lire demeure néanmoins sans autre prétention que celle d'ouvrir des pistes et non de délimiter un enclos de certitudes.
D'un autre côté, on ne voit pas comment on pourrait se passer d'une doctrine qui tente de répondre à des questions lancinantes, permanentes, incontournables. D'où vient le mal ? Le mal que nous subissons malgré nous, notamment la souffrance et la mort, mais aussi le mal que nous commettons, le péché, parfois avec tant de cruauté. Le Dieu bon et tout-puissant, auquel nous croyons, peut-il "permettre" cela, s'en accommoder ? L'annonce de l'évangile - Bonne nouvelle ! - n'est-elle pas plombée d'avance par la mauvaise nouvelle d'un "péché originel" dont nous serions tous les héritiers sans en être nullement coupables ni responsables ? Ce qu'on va lire demeure néanmoins sans autre prétention que celle d'ouvrir des pistes et non de délimiter un enclos de certitudes.
Beaucoup réclament aujourd'hui une révision de la doctrine catholique du "péché originel", certains préconisent son abandon pur et simple, d'autres estiment que le mieux est de n'en plus parler, tandis que quelques-uns voudraient au contraire la réhabiliter. Le moins qu'on puisse dire est que cet enseignement fait problème, aussi bien en catéchèse que dans la prédication ou en théologie. Le magistère lui-même paraît embarrassé pour en rendre compte.
D'un autre côté, on ne voit pas comment on pourrait se passer d'une doctrine qui tente de répondre à des questions lancinantes, permanentes, incontournables. D'où vient le mal ? Le mal que nous subissons malgré nous, notamment la souffrance et la mort, mais aussi le mal que nous commettons, le péché, parfois avec tant de cruauté. Le Dieu bon et tout-puissant, auquel nous croyons, peut-il "permettre" cela, s'en accommoder ? L'annonce de l'évangile - Bonne nouvelle ! - n'est-elle pas plombée d'avance par la mauvaise nouvelle d'un "péché originel" dont nous serions tous les héritiers sans en être nullement coupables ni responsables ? Ce qu'on va lire demeure néanmoins sans autre prétention que celle d'ouvrir des pistes et non de délimiter un enclos de certitudes.
D'un autre côté, on ne voit pas comment on pourrait se passer d'une doctrine qui tente de répondre à des questions lancinantes, permanentes, incontournables. D'où vient le mal ? Le mal que nous subissons malgré nous, notamment la souffrance et la mort, mais aussi le mal que nous commettons, le péché, parfois avec tant de cruauté. Le Dieu bon et tout-puissant, auquel nous croyons, peut-il "permettre" cela, s'en accommoder ? L'annonce de l'évangile - Bonne nouvelle ! - n'est-elle pas plombée d'avance par la mauvaise nouvelle d'un "péché originel" dont nous serions tous les héritiers sans en être nullement coupables ni responsables ? Ce qu'on va lire demeure néanmoins sans autre prétention que celle d'ouvrir des pistes et non de délimiter un enclos de certitudes.