Poubellocène. Chroniques de l'ère des déchets

Par : Marco Armiero

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.152 kg
  • Dimensions12,6 cm × 18,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-89833-136-7
  • EAN9782898331367
  • Date de parution30/08/2024
  • CollectionFutur proche
  • ÉditeurLux Editeur
  • TraducteurNicolas Calvé

Résumé

D'aucuns prétendent que nous sommes plongés dans l'Anthropocène, mais force est de constater que certains le sont plus que d'autres. En une vingtaine d'années, divers "-cènes" ont été proposés pour pallier les insuffisances de cette notion et pour affirmer que le piètre état de la planète aujourd'hui n'est pas le fait de l'humanité en soi, mais bien Le résultat de relations socioéconomiques délétères qui font, entre autres, que certains êtres, certains lieux et certaines mémoires sont considérés comme jetables.
En montrant la stratigraphie de pouvoir et de toxicité qui compose notre environnement, Marco Armiero propose le Poubellocène, l'ère des déchets, non pas comme une époque géologique à proprement parler, mais comme prisme d'interprétation qui tient compte des relations de domination et d'exclusion. De Naples, en Italie, à Agbobtoshie, au Ghana, des écofictions dystopiques à la réalité des épidémies, il explore les entrailles du Poubellocène dans un livre bref et accessible, qui jette les bases d'une notion et offre une lecture multidisciplinaire de notre rapport au monde.
D'aucuns prétendent que nous sommes plongés dans l'Anthropocène, mais force est de constater que certains le sont plus que d'autres. En une vingtaine d'années, divers "-cènes" ont été proposés pour pallier les insuffisances de cette notion et pour affirmer que le piètre état de la planète aujourd'hui n'est pas le fait de l'humanité en soi, mais bien Le résultat de relations socioéconomiques délétères qui font, entre autres, que certains êtres, certains lieux et certaines mémoires sont considérés comme jetables.
En montrant la stratigraphie de pouvoir et de toxicité qui compose notre environnement, Marco Armiero propose le Poubellocène, l'ère des déchets, non pas comme une époque géologique à proprement parler, mais comme prisme d'interprétation qui tient compte des relations de domination et d'exclusion. De Naples, en Italie, à Agbobtoshie, au Ghana, des écofictions dystopiques à la réalité des épidémies, il explore les entrailles du Poubellocène dans un livre bref et accessible, qui jette les bases d'une notion et offre une lecture multidisciplinaire de notre rapport au monde.