Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ces Portraits littéraires forment avec les Confessions d'un opiomane anglais et les Esquisses autobiographiques une sorte de triptyque où Thomas de...
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Résumé
Ces Portraits littéraires forment avec les Confessions d'un opiomane anglais et les Esquisses autobiographiques une sorte de triptyque où Thomas de Quincey (1785-1859) nous lire par fragments une des autobiographies imaginaires les plus fortes de la littérature anglaise ;
Ici, il s'agit non plus de souvenirs mais plutôt d'impressions de la maturité, dont le fil conducteur tient curieusement à une région, la région des lacs, celle du Westmorland, dont de Quincey dresse un portrait magnifique, tant de ses montagnes que de ses dangers ou de ses habitants et poètes.
Entre 1803 et 1820,les plus grands poètes romantiques y habitent et forment la " Société des Lacs ".
Coleridge, Wordsworth et Southey sont les trois figures majeures de ces lakistes dont l'opiomane anglais dresse un portrait saisissant.
La fréquentation régulière de " ces grands hommes " donne lieu à des mémoires où le sens du détail, de la satire, de l'irrespect se mêle à la tendresse (pour Coleridge, surtout) ; car De Quincey rend toujours à César ce qui appartient à César, avec parfois une certaine cruauté - notamment lorsqu'il parle de l'opportunisme de Wordsworth.
Rarement autobiographie aura été aussi paradoxale, proliférante, fragmentaire, tel un miroir brisé que le lecteur seul peut refaçonner, à partir de récits très vivants, d'anecdotes comiques ou dramatiques, de descriptions romantiques de Grasmere, où il logea en 1803, et de ses environs.
Tels quels, ces Portraits littéraires constituent bien le cœur de l'autobiographie quinceyenne.