Portrait du colonialiste. L'effet boomerang de la violence et de ses destructions
3e édition
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- Nombre de pages225
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.185 kg
- Dimensions11,2 cm × 19,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-490403-72-1
- EAN9782490403721
- Date de parution24/05/2024
- CollectionCritique de la civilisation
- ÉditeurEditions Libre
- PréfacierGrace Ly
- PostfacierJacinthe Mazzocchetti
- PostfacierAudrey Vernon
Résumé
Le Portrait du colonialiste s'ouvre sur le constat de la disparition des pratiques culturelles populaires en Occident, notamment des chants et des danses. Jérémie Piolat postule que l'inconscient colonial et raciste, dont le mépris se manifeste tant dans les discours que dans les gestes, s'est logé jusque dans les corps des Européens de l'Ouest ; corps désormais privés des virtuosités dont jouissent encore la grande majorité des représentants de cultures extra-occidentales.
Au fil des vingt récits tour à tour philosophiques, historiques et anthropologiques qui composent cet essai, les questionnements de l'auteur émergent : avant de devenir des Blancs euro-centrés, les peuples d'Europe auraient-ils subi une certaine forme de colonisation intra-européenne les rendant disponibles à la haine de tout altérisé? La destruction des cultures européennes a-t-elle constitué un préalable aux ravages coloniaux perpétrés sur les autres continents et à l'émergence du capitalisme ? Paru pour la première fois en 2011, il s'agit de la troisième édition du Portrait du colonialiste.
Au fil des vingt récits tour à tour philosophiques, historiques et anthropologiques qui composent cet essai, les questionnements de l'auteur émergent : avant de devenir des Blancs euro-centrés, les peuples d'Europe auraient-ils subi une certaine forme de colonisation intra-européenne les rendant disponibles à la haine de tout altérisé? La destruction des cultures européennes a-t-elle constitué un préalable aux ravages coloniaux perpétrés sur les autres continents et à l'émergence du capitalisme ? Paru pour la première fois en 2011, il s'agit de la troisième édition du Portrait du colonialiste.
Le Portrait du colonialiste s'ouvre sur le constat de la disparition des pratiques culturelles populaires en Occident, notamment des chants et des danses. Jérémie Piolat postule que l'inconscient colonial et raciste, dont le mépris se manifeste tant dans les discours que dans les gestes, s'est logé jusque dans les corps des Européens de l'Ouest ; corps désormais privés des virtuosités dont jouissent encore la grande majorité des représentants de cultures extra-occidentales.
Au fil des vingt récits tour à tour philosophiques, historiques et anthropologiques qui composent cet essai, les questionnements de l'auteur émergent : avant de devenir des Blancs euro-centrés, les peuples d'Europe auraient-ils subi une certaine forme de colonisation intra-européenne les rendant disponibles à la haine de tout altérisé? La destruction des cultures européennes a-t-elle constitué un préalable aux ravages coloniaux perpétrés sur les autres continents et à l'émergence du capitalisme ? Paru pour la première fois en 2011, il s'agit de la troisième édition du Portrait du colonialiste.
Au fil des vingt récits tour à tour philosophiques, historiques et anthropologiques qui composent cet essai, les questionnements de l'auteur émergent : avant de devenir des Blancs euro-centrés, les peuples d'Europe auraient-ils subi une certaine forme de colonisation intra-européenne les rendant disponibles à la haine de tout altérisé? La destruction des cultures européennes a-t-elle constitué un préalable aux ravages coloniaux perpétrés sur les autres continents et à l'émergence du capitalisme ? Paru pour la première fois en 2011, il s'agit de la troisième édition du Portrait du colonialiste.