Porte-voix
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- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.16 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-917897-06-5
- EAN9782917897065
- Date de parution14/05/2012
- ÉditeurPresque lune (Editions)
- PréfacierJean Métellus
Résumé
C’est arrivé le 16 décembre 1999 ! Roland était assis dans le salon. Soudain il s’est mis à crier : « Dingue ! Dingue ! Dingue ! » Il venait de subir un accident vasculaire cérébral. Avant cette date, Roland travaillait sur l’écriture d’un roman dont plusieurs chapitres étaient déjà terminés. Devenu aphasique et en dépit d’énormes difficultés, il décide de continuer ce projet, encouragé par son orthophoniste et Jean Metellus, son neurologue linguiste et poète haïtien.
Ainsi, chaque jour, il s’acharne à retrouver la maîtrise des mots, à les transformer en empruntant d’autres chemins labyrinthiques dans son cerveau qu’il triture sans ménagement, à les « réarmaturer » pour construire de nouvelles phrases aux sonorités et rythmiques étonnantes, jusqu’à inventer enfin un « pseudo langage ».
Ainsi, chaque jour, il s’acharne à retrouver la maîtrise des mots, à les transformer en empruntant d’autres chemins labyrinthiques dans son cerveau qu’il triture sans ménagement, à les « réarmaturer » pour construire de nouvelles phrases aux sonorités et rythmiques étonnantes, jusqu’à inventer enfin un « pseudo langage ».
C’est arrivé le 16 décembre 1999 ! Roland était assis dans le salon. Soudain il s’est mis à crier : « Dingue ! Dingue ! Dingue ! » Il venait de subir un accident vasculaire cérébral. Avant cette date, Roland travaillait sur l’écriture d’un roman dont plusieurs chapitres étaient déjà terminés. Devenu aphasique et en dépit d’énormes difficultés, il décide de continuer ce projet, encouragé par son orthophoniste et Jean Metellus, son neurologue linguiste et poète haïtien.
Ainsi, chaque jour, il s’acharne à retrouver la maîtrise des mots, à les transformer en empruntant d’autres chemins labyrinthiques dans son cerveau qu’il triture sans ménagement, à les « réarmaturer » pour construire de nouvelles phrases aux sonorités et rythmiques étonnantes, jusqu’à inventer enfin un « pseudo langage ».
Ainsi, chaque jour, il s’acharne à retrouver la maîtrise des mots, à les transformer en empruntant d’autres chemins labyrinthiques dans son cerveau qu’il triture sans ménagement, à les « réarmaturer » pour construire de nouvelles phrases aux sonorités et rythmiques étonnantes, jusqu’à inventer enfin un « pseudo langage ».