Polvorientos caminos. Itinéraire européen d'un républicain espagnol (1936-1945)

Par : Ernest Urzainqui-Falcon

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  • Nombre de pages191
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions14,9 cm × 23,9 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-7089-6903-2
  • EAN9782708969032
  • Date de parution17/06/2010
  • CollectionTémoignages pour l'histoire
  • ÉditeurPrivat

Résumé

Ernest Urzainqui a quinze ans lorsque éclate la guerre civile espagnole. Deux ans plus tard, l'adolescent s'engage dans l'Armée républicaine, pourchassée par les fascistes et les nazis. Parmi les derniers à passer en France en février 1939, il est accueilli dans ce pays de Liberté, d'Egalité et de Fraternité comme un criminel : enfermé clans les camps du Barcarès et de Saint-Cyprien, il souffre de la faim mais aussi et surtout de l'humiliation et du mépris de la population française. Livré avec un contingent de " rouges espagnols " à l'organisation Todt pour la construction du " mur de l'Atlantique ", il est soumis aux travaux forcés dans la base sous-marine de Brest puis à Guernesey. Il se rend encore en Italie et en Allemagne, et réussit à passer en Suisse en 1944. Un parcours étonnant sur des chemins de poussière. Son témoignage sans concession souligne la cruauté qui fut monnaie courante en cette terrible période, niais aussi la fierté de ces Espagnols irréductibles, capables des plus violentes représailles pour affirmer leur dignité.
Ernest Urzainqui a quinze ans lorsque éclate la guerre civile espagnole. Deux ans plus tard, l'adolescent s'engage dans l'Armée républicaine, pourchassée par les fascistes et les nazis. Parmi les derniers à passer en France en février 1939, il est accueilli dans ce pays de Liberté, d'Egalité et de Fraternité comme un criminel : enfermé clans les camps du Barcarès et de Saint-Cyprien, il souffre de la faim mais aussi et surtout de l'humiliation et du mépris de la population française. Livré avec un contingent de " rouges espagnols " à l'organisation Todt pour la construction du " mur de l'Atlantique ", il est soumis aux travaux forcés dans la base sous-marine de Brest puis à Guernesey. Il se rend encore en Italie et en Allemagne, et réussit à passer en Suisse en 1944. Un parcours étonnant sur des chemins de poussière. Son témoignage sans concession souligne la cruauté qui fut monnaie courante en cette terrible période, niais aussi la fierté de ces Espagnols irréductibles, capables des plus violentes représailles pour affirmer leur dignité.