Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Citerai-je tous les bistros où il me fut donné d'être jeune et heureux, entouré de camarades, de pensées consolantes ou d'épaules de demoiselles...
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" Citerai-je tous les bistros où il me fut donné d'être jeune et heureux, entouré de camarades, de pensées consolantes ou d'épaules de demoiselles ? " Ce livre, publié en 1946 à 220 exemplaires, n'a jamais été réédité. Il est composé de souvenirs formés " le long de quelque zinc qui joue un si beau rôle de miroir aux alouettes devant tous ceux qui s'accoudent et songent ". Mais aussi de réflexions, de bons mots, d'anecdotes drôles ou graves, d'émotions, recueillis dans les cafés parisiens, " du bouiboui au bel établissement " que l'auteur a également et assidûment fréquentés. C'est aussi une galerie de portraits, de types de bistros, hommes et femmes, êtres animés par la soif d'alcool et d'idéal.