Poétique du drame moderne. De Henrik Ibsen à Bernard - Marie Koltès
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- Nombre de pages402
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.406 kg
- Dimensions14,1 cm × 20,7 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-02-105420-0
- EAN9782021054200
- Date de parution08/11/2012
- CollectionPoétique
- ÉditeurSeuil
Résumé
Cet essai explore le nouveau paradigme de la forme dramatique qui, apparu dans les années 1880
(avec Ibsen, Strindberg, Tchekhov), s’est perpétué dans les dramaturgies les plus contemporaines
(Heiner Müller, Jon Fosse, Valère Novarina…). Il met en évidence la dimension rhapsodique de la forme
dramatique : le drame nouveau ressortit à une forme ouverte et profondément hétérogène où les
modes dramatique, épique et lyrique, voire argumentatif, ne cessent de s’ajointer ou de se
chevaucher.
Loin de souscrire aux idées de « décadence » (Lukács), d’obsolescence (Lehmann), ou encore de mort du drame (Adorno), J-P Sarrazac dessine les contours, toujours en mouvement, d’une forme la plus libre possible, mais qui n’est pas, à l’instar de la rhapsodie en musique, l’absence de forme.
Loin de souscrire aux idées de « décadence » (Lukács), d’obsolescence (Lehmann), ou encore de mort du drame (Adorno), J-P Sarrazac dessine les contours, toujours en mouvement, d’une forme la plus libre possible, mais qui n’est pas, à l’instar de la rhapsodie en musique, l’absence de forme.
Cet essai explore le nouveau paradigme de la forme dramatique qui, apparu dans les années 1880
(avec Ibsen, Strindberg, Tchekhov), s’est perpétué dans les dramaturgies les plus contemporaines
(Heiner Müller, Jon Fosse, Valère Novarina…). Il met en évidence la dimension rhapsodique de la forme
dramatique : le drame nouveau ressortit à une forme ouverte et profondément hétérogène où les
modes dramatique, épique et lyrique, voire argumentatif, ne cessent de s’ajointer ou de se
chevaucher.
Loin de souscrire aux idées de « décadence » (Lukács), d’obsolescence (Lehmann), ou encore de mort du drame (Adorno), J-P Sarrazac dessine les contours, toujours en mouvement, d’une forme la plus libre possible, mais qui n’est pas, à l’instar de la rhapsodie en musique, l’absence de forme.
Loin de souscrire aux idées de « décadence » (Lukács), d’obsolescence (Lehmann), ou encore de mort du drame (Adorno), J-P Sarrazac dessine les contours, toujours en mouvement, d’une forme la plus libre possible, mais qui n’est pas, à l’instar de la rhapsodie en musique, l’absence de forme.











