Poésies choisies de Sévérianine

Par : Igor Sévérianine
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  • Nombre de pages138
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.173 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-490091-31-7
  • EAN9782490091317
  • Date de parution15/07/2020
  • ÉditeurVibration éditions
  • TraducteurValentina Chepiga

Résumé

Igor Sévérianine (1887-1941) est un des poètes du Siècle d'argent russe et fondateur d'un mouvement littéraire, l'ego-futurisme. Ami et rival de Vladimir Maïakovski, il s'inscrit un jour à un concours poétique et devient une icône (Maïakovski y a eu la deuxième place). Il est élu roi des poètes et a fait l'objet d'un propos désobligeant de Léon Tolstoï à l'égard d'un poème jugé trop "moderne". Sévérianine s'est réveillé connu de la Russie entière.
Dandy et esthète, ironique et fin, Sévérianine, après la révolution de 1917, à la différence de nombreux hommes et femmes de lettres russes qui ont vécu en France, s'est installé en Estonie. Il y a mené une vie recluse jusqu'à sa mort en 1941, non pas d'une balle égarée, mais d'une crise cardiaque... La couronne de martyr lui échappe ! Il faudra presque un demi-siècle pour qu'on recommence à apprécier son élégance, sa créativité et son amour de la vie.
Valentina Chepiga nous offre une magnifique escapade en Russie et en Estonie, au fil d'une soixantaine de poètes qu'elle a traduites pour notre plus grand bonheur.
Igor Sévérianine (1887-1941) est un des poètes du Siècle d'argent russe et fondateur d'un mouvement littéraire, l'ego-futurisme. Ami et rival de Vladimir Maïakovski, il s'inscrit un jour à un concours poétique et devient une icône (Maïakovski y a eu la deuxième place). Il est élu roi des poètes et a fait l'objet d'un propos désobligeant de Léon Tolstoï à l'égard d'un poème jugé trop "moderne". Sévérianine s'est réveillé connu de la Russie entière.
Dandy et esthète, ironique et fin, Sévérianine, après la révolution de 1917, à la différence de nombreux hommes et femmes de lettres russes qui ont vécu en France, s'est installé en Estonie. Il y a mené une vie recluse jusqu'à sa mort en 1941, non pas d'une balle égarée, mais d'une crise cardiaque... La couronne de martyr lui échappe ! Il faudra presque un demi-siècle pour qu'on recommence à apprécier son élégance, sa créativité et son amour de la vie.
Valentina Chepiga nous offre une magnifique escapade en Russie et en Estonie, au fil d'une soixantaine de poètes qu'elle a traduites pour notre plus grand bonheur.