Poèmes kazakhs. L'armoire rouge de la steppe
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.175 kg
- Dimensions12,0 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
- ISBN2-85446-351-X
- EAN9782854463514
- Date de parution11/06/2003
- CollectionMajeures
- ÉditeurCaractères
- AdaptateurJacques Jouet
- PréfacierLéon Robel
Résumé
Makhambet est un personnage épique de l'histoire et de la poésie kazakhes. A seize ans il remporte tous les tournois de poésie où s'affrontent les akin, poètes improvisateurs oraux. Le khan (souverain) de sa horde le distingue, en fait le précepteur de son fils. Mais très vite Makhambet s'indigne des injustices que subissent les éleveurs nomades. Il dénonce dans ses chants les abus. Il doit alors fuir au-delà de l'Oural.
Il est rattrapé et jeté en forteresse. Il s'en échappe. Quand le peuple, à bout de souffrances, se soulève, il se joint à lui, combat à ses côtés, l'encourage de ses chants. La rébellion va de victoire en victoire. Encerclé le khan appelle à son secours les Russes. Le soulèvement est écrasé, son chef tué. Makhambet doit mener une vie errante avec sa famille. Repris, il sera livré aux Russes mais aussi libéré par eux.
Des tueurs finissent par retrouver sa trace. Il sera décapité et sa tête rapportée au sultan. La poésie de Makhambet fait revivre ces combats pour la justice et la liberté avec une rare puissance. Elle est parcourue du souffle de la steppe, retentit du fracas des combats, est peuplée des animaux de la plaine et des monts, riche de métaphores étonnantes, de méditations passionnées. C'est cette voix profondément originale, ce ton inouï que nous offre superbement la version française de Jacques Jouet.
Il est rattrapé et jeté en forteresse. Il s'en échappe. Quand le peuple, à bout de souffrances, se soulève, il se joint à lui, combat à ses côtés, l'encourage de ses chants. La rébellion va de victoire en victoire. Encerclé le khan appelle à son secours les Russes. Le soulèvement est écrasé, son chef tué. Makhambet doit mener une vie errante avec sa famille. Repris, il sera livré aux Russes mais aussi libéré par eux.
Des tueurs finissent par retrouver sa trace. Il sera décapité et sa tête rapportée au sultan. La poésie de Makhambet fait revivre ces combats pour la justice et la liberté avec une rare puissance. Elle est parcourue du souffle de la steppe, retentit du fracas des combats, est peuplée des animaux de la plaine et des monts, riche de métaphores étonnantes, de méditations passionnées. C'est cette voix profondément originale, ce ton inouï que nous offre superbement la version française de Jacques Jouet.
Makhambet est un personnage épique de l'histoire et de la poésie kazakhes. A seize ans il remporte tous les tournois de poésie où s'affrontent les akin, poètes improvisateurs oraux. Le khan (souverain) de sa horde le distingue, en fait le précepteur de son fils. Mais très vite Makhambet s'indigne des injustices que subissent les éleveurs nomades. Il dénonce dans ses chants les abus. Il doit alors fuir au-delà de l'Oural.
Il est rattrapé et jeté en forteresse. Il s'en échappe. Quand le peuple, à bout de souffrances, se soulève, il se joint à lui, combat à ses côtés, l'encourage de ses chants. La rébellion va de victoire en victoire. Encerclé le khan appelle à son secours les Russes. Le soulèvement est écrasé, son chef tué. Makhambet doit mener une vie errante avec sa famille. Repris, il sera livré aux Russes mais aussi libéré par eux.
Des tueurs finissent par retrouver sa trace. Il sera décapité et sa tête rapportée au sultan. La poésie de Makhambet fait revivre ces combats pour la justice et la liberté avec une rare puissance. Elle est parcourue du souffle de la steppe, retentit du fracas des combats, est peuplée des animaux de la plaine et des monts, riche de métaphores étonnantes, de méditations passionnées. C'est cette voix profondément originale, ce ton inouï que nous offre superbement la version française de Jacques Jouet.
Il est rattrapé et jeté en forteresse. Il s'en échappe. Quand le peuple, à bout de souffrances, se soulève, il se joint à lui, combat à ses côtés, l'encourage de ses chants. La rébellion va de victoire en victoire. Encerclé le khan appelle à son secours les Russes. Le soulèvement est écrasé, son chef tué. Makhambet doit mener une vie errante avec sa famille. Repris, il sera livré aux Russes mais aussi libéré par eux.
Des tueurs finissent par retrouver sa trace. Il sera décapité et sa tête rapportée au sultan. La poésie de Makhambet fait revivre ces combats pour la justice et la liberté avec une rare puissance. Elle est parcourue du souffle de la steppe, retentit du fracas des combats, est peuplée des animaux de la plaine et des monts, riche de métaphores étonnantes, de méditations passionnées. C'est cette voix profondément originale, ce ton inouï que nous offre superbement la version française de Jacques Jouet.