Poèmes chinois
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- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.2 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,1 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-37295-012-1
- EAN9782372950121
- Date de parution11/10/2016
- ÉditeurLe Fanal Editions
Résumé
Au milieu du XIXe siècle, les événements de Chine qui font l'actualité amplifient l'intérêt que suscitait déjà l'Extrême-Orient, notamment chez Flaubert et son ami Louis Bouilhet. Ce dernier ne tarde pas à être captivé par la littérature et la civilisation des Chinois dont il s'initie à la langue. Ces études l'inspirent au point qu'il compose ce qu'il désigne comme ses "poèmes chinois". Les voici, témoignage de son art au service d'une passion.
La passion éprouvée par Louis Bouilhet (1821-1869) pour la Chine, sa langue et sa culture, fut de son propre aveu à l'ami Flaubert "le seul côté lumineux de (sa) vie". S'il ne parvint pas, faute de temps libre, à écrire le Conte chinois qui lui tenait à coeur, il témoigna de cet amour par ses poèmes.
La passion éprouvée par Louis Bouilhet (1821-1869) pour la Chine, sa langue et sa culture, fut de son propre aveu à l'ami Flaubert "le seul côté lumineux de (sa) vie". S'il ne parvint pas, faute de temps libre, à écrire le Conte chinois qui lui tenait à coeur, il témoigna de cet amour par ses poèmes.
Au milieu du XIXe siècle, les événements de Chine qui font l'actualité amplifient l'intérêt que suscitait déjà l'Extrême-Orient, notamment chez Flaubert et son ami Louis Bouilhet. Ce dernier ne tarde pas à être captivé par la littérature et la civilisation des Chinois dont il s'initie à la langue. Ces études l'inspirent au point qu'il compose ce qu'il désigne comme ses "poèmes chinois". Les voici, témoignage de son art au service d'une passion.
La passion éprouvée par Louis Bouilhet (1821-1869) pour la Chine, sa langue et sa culture, fut de son propre aveu à l'ami Flaubert "le seul côté lumineux de (sa) vie". S'il ne parvint pas, faute de temps libre, à écrire le Conte chinois qui lui tenait à coeur, il témoigna de cet amour par ses poèmes.
La passion éprouvée par Louis Bouilhet (1821-1869) pour la Chine, sa langue et sa culture, fut de son propre aveu à l'ami Flaubert "le seul côté lumineux de (sa) vie". S'il ne parvint pas, faute de temps libre, à écrire le Conte chinois qui lui tenait à coeur, il témoigna de cet amour par ses poèmes.