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  • Nombre de pages342
  • PrésentationBroché
  • Poids0.515 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-915412-29-4
  • EAN9782915412291
  • Date de parution04/05/2005
  • ÉditeurJean-Pierre Huguet Editeur
  • IllustrateurAlain Gauvin
  • PréfacierJosanne Rousseau
  • PostfacierBernard Chambaz

Résumé

"On ne m'a rien demandé, c'est vrai. Je m'enlace à un mot je me pends à ses lettres et sa musique m'étrangle, sa graphie me coupe les yeux (m'égorge). Le présent toujours frivole... Je me retiens, et j'aime chanter. " "Il a mené une vie de poète, une vraie vie de jeune poète, c'est-à-dire soulevée d'élans, difficile dans un exercice constant et douloureux de toutes les formes d'amour et de solitudes, et d'abord de cette solitude-ci qui consiste à chercher l'unique de chaque moment, à le comprendre et à le protéger, à refuser, bien sûr, les consensus faciles, mais aussi tout simplement ce qu'il y a d'aliénant dans les complicités sympathiques, amicales et rassurantes, à côté desquelles flottait sa vigilance, sa défiance.
De cette quête de l'exigence témoignent toutes ces pages qu'allègent en permanence l'humour, l'ironie, et elles parlent en particulier de toute une génération. " Josanne Rousseau 47 de ces poèmes ont fait l'objet d'une édition de bibliophilie, préfacée par Thierry Garrel, enrichie de 12 estampes en couleurs de Gauvin et d'un fac-similé du manuscrit original.
"On ne m'a rien demandé, c'est vrai. Je m'enlace à un mot je me pends à ses lettres et sa musique m'étrangle, sa graphie me coupe les yeux (m'égorge). Le présent toujours frivole... Je me retiens, et j'aime chanter. " "Il a mené une vie de poète, une vraie vie de jeune poète, c'est-à-dire soulevée d'élans, difficile dans un exercice constant et douloureux de toutes les formes d'amour et de solitudes, et d'abord de cette solitude-ci qui consiste à chercher l'unique de chaque moment, à le comprendre et à le protéger, à refuser, bien sûr, les consensus faciles, mais aussi tout simplement ce qu'il y a d'aliénant dans les complicités sympathiques, amicales et rassurantes, à côté desquelles flottait sa vigilance, sa défiance.
De cette quête de l'exigence témoignent toutes ces pages qu'allègent en permanence l'humour, l'ironie, et elles parlent en particulier de toute une génération. " Josanne Rousseau 47 de ces poèmes ont fait l'objet d'une édition de bibliophilie, préfacée par Thierry Garrel, enrichie de 12 estampes en couleurs de Gauvin et d'un fac-similé du manuscrit original.

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sur 1 note dont 1 avis lecteur
Frère de lumière
Olivier aimait la charpente de l’esprit qu’il habillait de ses mots et il aimait le regard des gens et des personnes qui le regardaient en face. Si quelques uns mon exclu de sa vérité je le proclame enfant de Dieu et de son héroïque courage et de sa passion pour l’altérité et la beauté des choses. Son regard humide était empreint d’une grâce divine à nul autre pareil. Olivier et Hélène sacrifiés sur la rivière du destin, je t’aime et je te porte en moi, peut être quelques uns me rappelleront ton regard fait de bonté et de lumière tel un noble chevalier de vérité au travers des décombres de l’obscurité et du chaos où affleurait ta vulnérabilité et ta joie de vivre ainsi que l’humour du dérisoire et la souffrance de la nature qui te déchiquetait le corps, dans sa vacuité, cherchant à accoucher de ses métamorphoses douloureuses et oppressantes, Plaie béante ouverte sur un univers de quête et de soif de vivre inextinguible … !!! …!!! … Je te rends grâce Amen
Olivier aimait la charpente de l’esprit qu’il habillait de ses mots et il aimait le regard des gens et des personnes qui le regardaient en face. Si quelques uns mon exclu de sa vérité je le proclame enfant de Dieu et de son héroïque courage et de sa passion pour l’altérité et la beauté des choses. Son regard humide était empreint d’une grâce divine à nul autre pareil. Olivier et Hélène sacrifiés sur la rivière du destin, je t’aime et je te porte en moi, peut être quelques uns me rappelleront ton regard fait de bonté et de lumière tel un noble chevalier de vérité au travers des décombres de l’obscurité et du chaos où affleurait ta vulnérabilité et ta joie de vivre ainsi que l’humour du dérisoire et la souffrance de la nature qui te déchiquetait le corps, dans sa vacuité, cherchant à accoucher de ses métamorphoses douloureuses et oppressantes, Plaie béante ouverte sur un univers de quête et de soif de vivre inextinguible … !!! …!!! … Je te rends grâce Amen
  • âme