Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" La philosophie est en vérité la plus grande des musiques ". Telle est l'épigraphe, de la bouche même de Socrate, qu'emprunte Walter Pater au Phédon...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
" La philosophie est en vérité la plus grande des musiques ". Telle est l'épigraphe, de la bouche même de Socrate, qu'emprunte Walter Pater au Phédon pour placer en 1893 son recueil sous le signe de Platon, grand maître et compositeur des partitions de la pensée. Historien de l'art et théoricien littéraire de l'esthétisme britannique, source sérieuse des intentions et des rêves de Swinburne et d'Oscar Wilde, l'auteur (1839-1894) consacre ainsi ses dix conférences universitaires à l'étude d'un objet-clef. Quelques temps après Nietzsche, Pater met en lumière une vision passionnelle mais parfaitement argumentée des aventures dialectiques de " l'amant des idées " : l'idéalisme platonicien saisi comme une tentation des sens. D'une prose ondoyante et poétique autant qu'efficace, ces textes offrent au lecteur davantage qu'un ouvrage relevant des dernières années du XIXe siècle. Ils apportent une connaissance approfondie de Platon et de son univers, des Présocratiques au Néoplatoniciens en passant par une admirable étude de Sparte, fascinant modèle de La République.