Aujourd'hui, chacun connaît le prix de l'objet culturel, mais qui connaît sa valeur ? Comme pour les pyramides de Gizeh, la culture urbaine est fascinante, impressionnante mais elle intrigue et pousse à des tensions intellectuelles. La culture urbaine rassemble et/ou divise la France, comme la subtilité et ligne très fine avec les "blacks' américains que l'on honore et les "noirs" africains que l'on méprise.
Aussi subtil que les cris de singe dans les stades de foot face à un joueur de l'équipe de France ou à la "guenon' ministre de la République qui doit retourner manger sa banane, la culture urbaine génère beaucoup trop de millions pour que les dignes bénéficiaires ne soient toujours pas considérés. Critiquée, diabolisée, cette culture demeure injustement trustée par des pseudos-représentants dont la légitimité n'est qu'illusoire.
Depuis cinquante ans, l'histoire de la culture urbaine s'impose et se renouvelle avec vigueur dans un paysage hexagonal où elle est régulièrement mise en cause, incomprise. C'est ici que le bât blesse et il est maintenant crucial pour cette culture de s'autodéterminer, de s'organiser sans pâtir de l'emprise réelle, mais néfaste, de patriarches sans ADN, sans projet de fond et sans considération pour cet art.
Il est donc temps pour la culture urbaine de faire sa révolution et de répandre librement son savoir et son expertise sans tutelle. Percutant et résolu, ce manifeste s'engage à sanctuariser les apports bénéfiques de cette " sous-culture ", à la valoriser factuellement par le biais d'exemples inspirants, tout en veillant à élever l'esprit des nouvelles générations, mettant ainsi le cap sur l'excellence, et balayant d'un revers la médiocrité à laquelle ses détracteurs hypocrites souhaitent la cantonner.
Aujourd'hui, chacun connaît le prix de l'objet culturel, mais qui connaît sa valeur ? Comme pour les pyramides de Gizeh, la culture urbaine est fascinante, impressionnante mais elle intrigue et pousse à des tensions intellectuelles. La culture urbaine rassemble et/ou divise la France, comme la subtilité et ligne très fine avec les "blacks' américains que l'on honore et les "noirs" africains que l'on méprise.
Aussi subtil que les cris de singe dans les stades de foot face à un joueur de l'équipe de France ou à la "guenon' ministre de la République qui doit retourner manger sa banane, la culture urbaine génère beaucoup trop de millions pour que les dignes bénéficiaires ne soient toujours pas considérés. Critiquée, diabolisée, cette culture demeure injustement trustée par des pseudos-représentants dont la légitimité n'est qu'illusoire.
Depuis cinquante ans, l'histoire de la culture urbaine s'impose et se renouvelle avec vigueur dans un paysage hexagonal où elle est régulièrement mise en cause, incomprise. C'est ici que le bât blesse et il est maintenant crucial pour cette culture de s'autodéterminer, de s'organiser sans pâtir de l'emprise réelle, mais néfaste, de patriarches sans ADN, sans projet de fond et sans considération pour cet art.
Il est donc temps pour la culture urbaine de faire sa révolution et de répandre librement son savoir et son expertise sans tutelle. Percutant et résolu, ce manifeste s'engage à sanctuariser les apports bénéfiques de cette " sous-culture ", à la valoriser factuellement par le biais d'exemples inspirants, tout en veillant à élever l'esprit des nouvelles générations, mettant ainsi le cap sur l'excellence, et balayant d'un revers la médiocrité à laquelle ses détracteurs hypocrites souhaitent la cantonner.