Place de la Concorde. Ou Vie et mort d'un régime politique, sotie en quatre journées

Par : Erik Egnell

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  • Nombre de pages122
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.09 kg
  • Dimensions10,5 cm × 16,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN2-9526713-2-X
  • EAN9782952671323
  • Date de parution01/09/2006
  • ÉditeurCyrano (Editions)

Résumé

Nous sommes en 1795. L'ancienne monarchie a été supprimée. Le dictateur qui lui avait succédé a été abattu à son tour. La République a maintenant trois ans d'âge. Elle a su tenir en échec l'Europe liguée pour la détruire. Il ne reste plus qu'à lui donner une constitution, qui empêche le retour aux excès de jadis. La Constitution de l'an III crée le Directoire. Il y aura cinq « Directeurs » siégeant au Luxembourg, assurant ensemble les fonctions de premier ministre, face aux deux assemblées, les Anciens installés aux Tuileries et les Cinq-Cents au Palais-Bourbon.
Un des premiers actes du nouveau régime est de rebaptiser la place de la Révolution, où trônait la guillotine, en place de la Concorde, où le peuple viendra danser et s'amuser. Le Directoire a son homme fort : Barras. Mais sa base populaire est de plus en plus étroite, entre l'opposition de droite, les royalistes, et celle de gauche, les jacobins. Tandis que brille de plus en plus au firmament national l'étoile d'un jeune général victorieux, Bonaparte, qui a épousé une ancienne amie de Barras, Rose, rebaptisée Joséphine.
Nous sommes en 1795. L'ancienne monarchie a été supprimée. Le dictateur qui lui avait succédé a été abattu à son tour. La République a maintenant trois ans d'âge. Elle a su tenir en échec l'Europe liguée pour la détruire. Il ne reste plus qu'à lui donner une constitution, qui empêche le retour aux excès de jadis. La Constitution de l'an III crée le Directoire. Il y aura cinq « Directeurs » siégeant au Luxembourg, assurant ensemble les fonctions de premier ministre, face aux deux assemblées, les Anciens installés aux Tuileries et les Cinq-Cents au Palais-Bourbon.
Un des premiers actes du nouveau régime est de rebaptiser la place de la Révolution, où trônait la guillotine, en place de la Concorde, où le peuple viendra danser et s'amuser. Le Directoire a son homme fort : Barras. Mais sa base populaire est de plus en plus étroite, entre l'opposition de droite, les royalistes, et celle de gauche, les jacobins. Tandis que brille de plus en plus au firmament national l'étoile d'un jeune général victorieux, Bonaparte, qui a épousé une ancienne amie de Barras, Rose, rebaptisée Joséphine.