Pierre Jahan. A l'ombre des rois, lumières et jeux de la photographie

Par : Michelle Debat
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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • FormatBeau Livre
  • Poids0.72 kg
  • Dimensions20,0 cm × 25,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-919507-36-8
  • EAN9782919507368
  • Date de parution04/12/2014
  • ÉditeurLoco

Résumé

Dans l'oeuvre photographique de Pierre Jahan (1909-2003), c'est l'ombre qui se propose comme guide opérant, permettant de traverser l'éclectisme de sa production artistique. Photographe, mais aussi illustrateur, dessinateur, peintre, contemporain de Sougez, Ronis, Doisneau mais aussi de Vigneau, Kertész, Landau, Steiner..., membre du groupe Rectangle puis de celui des XV, et représentant - pas toujours reconnu à sa juste place - de ce qu'est la photographie : un art du passage, un art de la traversée, mais aussi un art des écarts, un art où l'ombre peut être la muse d'un regard autre, la preuve d'une attention singulière à un état de vie, à un état d'âme, à un état de fait...
Et ce sont justement ces différents " états " qui inclinent à la diversité des photographies de Jahan allant de la série de l'Herbier surréaliste (1947) à celle des étranges Poupées (1942-45), des Etudes de nus (1945-49) aux reportages sur La vie Batelière (1938), ou le Paris [qui] chante sa nuit (1945)... aux travaux d'éditions (Le Dévot Christ (1934), La mort et les statues (1941-42), Les Gisants de Saint-Denis (1948), ou d'illustrations publicitaires (parfums Piguet, cristallerie Daum et arts de la table Christofle, laboratoires pharmaceutiques mais aussi Renault, Citroën...).
Dans l'oeuvre photographique de Pierre Jahan (1909-2003), c'est l'ombre qui se propose comme guide opérant, permettant de traverser l'éclectisme de sa production artistique. Photographe, mais aussi illustrateur, dessinateur, peintre, contemporain de Sougez, Ronis, Doisneau mais aussi de Vigneau, Kertész, Landau, Steiner..., membre du groupe Rectangle puis de celui des XV, et représentant - pas toujours reconnu à sa juste place - de ce qu'est la photographie : un art du passage, un art de la traversée, mais aussi un art des écarts, un art où l'ombre peut être la muse d'un regard autre, la preuve d'une attention singulière à un état de vie, à un état d'âme, à un état de fait...
Et ce sont justement ces différents " états " qui inclinent à la diversité des photographies de Jahan allant de la série de l'Herbier surréaliste (1947) à celle des étranges Poupées (1942-45), des Etudes de nus (1945-49) aux reportages sur La vie Batelière (1938), ou le Paris [qui] chante sa nuit (1945)... aux travaux d'éditions (Le Dévot Christ (1934), La mort et les statues (1941-42), Les Gisants de Saint-Denis (1948), ou d'illustrations publicitaires (parfums Piguet, cristallerie Daum et arts de la table Christofle, laboratoires pharmaceutiques mais aussi Renault, Citroën...).