Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Philosophie zoologique (1809) de Lamarck (1744-1829) compte parmi les classiques de l'histoire des sciences. C'est l'acte de naissance du transformisme...
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Résumé
La Philosophie zoologique (1809) de Lamarck (1744-1829) compte parmi les classiques de l'histoire des sciences. C'est l'acte de naissance du transformisme ; le temps fait son entrée dans l'étude des êtres vivants, et tout d'abord dans leur classification qui doit être généalogique : des êtres les plus simples, apparus par génération spontanée, dérivent des êtres de plus en plus complexes jusqu'à, et y compris, l'homme.
Mais la Philosophie zoologique est aussi et plus encore qu'un exposé du transformisme, le texte fondateur de la biologie. Non seulement Lamarck invente ce terme de biologie pour désigner la science autonome, affirmant la radicale différence entre vivants et objets inanimés en même temps que l'identité des lois physiques régissant les uns et les autres : les êtres vivants ont simplement une organisation particulière telle que le jeu de ces lois entraîne la vie en place de l'inertie.
Texte foisonnant enfin, la Philosophie zoologique s'achève sur une extension du transformisme à la psychologie et l'exposé d'un modèle où les différentes opérations de la pensée sont ramenées à des mouvements de "fluide nerveux "...
La Philosophie zoologique (1809) compte parmi les classiques de l'histoire des sciences. C'est l'acte de naissance du transformisme ; le temps fait son entrée dans l'étude des êtres vivants, et tout d'abord dans leur classification qui doit être généalogique : des êtres les plus simples, apparus par génération spontanée, dérivent des êtres de plus en plus complexes jusqu'à l'homme. Mais plus encore qu'un exposé du transformisme, la Philosophie zoologique est aussi le texte fondateur de la biologie. Non seulement Lamarck invente ce terme pour désigner la science des êtres vivants, mais il la définit comme science autonome, affirmant la radicale différence entre vivants et objets inanimés en même temps que l'identité des lois physiques régissant les uns et les autres. Texte foisonnant, enfin, cette oeuvre s'achève sur une extension du transformisme à la psychologie et l'exposé d'un modèle où les différentes opérations de la pensée sont ramenées à des mouvements de "fluides nerveux" ...