Philosophie de la barbe
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.123 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-84100-613-7
- EAN9782841006137
- Date de parution24/11/2016
- ÉditeurBartillat
- TraducteurDenis Griesmar
Résumé
- Une histoire pleine d'humour de la barbe à travers différentes civilisations. - Avec des illustrations pleines d'esprit. - Un objet à offrir à tous les hipsters " L'absence de Barbe est généralement un signe de faiblesse physique et morale. " "Prenez deux dessins de la tête d'un lion, une avec et l'autre sans la crinière. Vous verrez à quel point la majesté du roi de la forêt, ainsi que celle du seigneur de la terre, demeure dans cet appendice à écoulement libre".
"Il n'y a guère un objet plus dégoûtant naturellement qu'un vieil homme imberbe. La Barbe favorise continuellement protection, variété et embellissement, et donne de nouvelles grâces, même à la dégénérescence, en intensifiant tout ce qui est toujours agréable, voilant tout ce qui est répulsif. " Ce livre victorien excentrique fait valoir de solides arguments pour l'universel port d'une barbe - ce symbole essentiel de la distinction virile depuis les temps anciens.
Thomas S. Gowing contraste la vigueur et l'audace des hommes barbus à travers l'histoire avec la mollesse indéniable du bien rasé. Il rappelle à l'homme moderne que " les dames, par leur nature même, aiment tout à caractère viril", et ne peuvent manquer d'être charmées par un " fin flux de grâce ondulée ". Le livre de Gowing est maintenant réédité pour la première fois depuis 1850, accompagné d'illustrations d'impressionnantes barbes de l'histoire.
"Il n'y a guère un objet plus dégoûtant naturellement qu'un vieil homme imberbe. La Barbe favorise continuellement protection, variété et embellissement, et donne de nouvelles grâces, même à la dégénérescence, en intensifiant tout ce qui est toujours agréable, voilant tout ce qui est répulsif. " Ce livre victorien excentrique fait valoir de solides arguments pour l'universel port d'une barbe - ce symbole essentiel de la distinction virile depuis les temps anciens.
Thomas S. Gowing contraste la vigueur et l'audace des hommes barbus à travers l'histoire avec la mollesse indéniable du bien rasé. Il rappelle à l'homme moderne que " les dames, par leur nature même, aiment tout à caractère viril", et ne peuvent manquer d'être charmées par un " fin flux de grâce ondulée ". Le livre de Gowing est maintenant réédité pour la première fois depuis 1850, accompagné d'illustrations d'impressionnantes barbes de l'histoire.
- Une histoire pleine d'humour de la barbe à travers différentes civilisations. - Avec des illustrations pleines d'esprit. - Un objet à offrir à tous les hipsters " L'absence de Barbe est généralement un signe de faiblesse physique et morale. " "Prenez deux dessins de la tête d'un lion, une avec et l'autre sans la crinière. Vous verrez à quel point la majesté du roi de la forêt, ainsi que celle du seigneur de la terre, demeure dans cet appendice à écoulement libre".
"Il n'y a guère un objet plus dégoûtant naturellement qu'un vieil homme imberbe. La Barbe favorise continuellement protection, variété et embellissement, et donne de nouvelles grâces, même à la dégénérescence, en intensifiant tout ce qui est toujours agréable, voilant tout ce qui est répulsif. " Ce livre victorien excentrique fait valoir de solides arguments pour l'universel port d'une barbe - ce symbole essentiel de la distinction virile depuis les temps anciens.
Thomas S. Gowing contraste la vigueur et l'audace des hommes barbus à travers l'histoire avec la mollesse indéniable du bien rasé. Il rappelle à l'homme moderne que " les dames, par leur nature même, aiment tout à caractère viril", et ne peuvent manquer d'être charmées par un " fin flux de grâce ondulée ". Le livre de Gowing est maintenant réédité pour la première fois depuis 1850, accompagné d'illustrations d'impressionnantes barbes de l'histoire.
"Il n'y a guère un objet plus dégoûtant naturellement qu'un vieil homme imberbe. La Barbe favorise continuellement protection, variété et embellissement, et donne de nouvelles grâces, même à la dégénérescence, en intensifiant tout ce qui est toujours agréable, voilant tout ce qui est répulsif. " Ce livre victorien excentrique fait valoir de solides arguments pour l'universel port d'une barbe - ce symbole essentiel de la distinction virile depuis les temps anciens.
Thomas S. Gowing contraste la vigueur et l'audace des hommes barbus à travers l'histoire avec la mollesse indéniable du bien rasé. Il rappelle à l'homme moderne que " les dames, par leur nature même, aiment tout à caractère viril", et ne peuvent manquer d'être charmées par un " fin flux de grâce ondulée ". Le livre de Gowing est maintenant réédité pour la première fois depuis 1850, accompagné d'illustrations d'impressionnantes barbes de l'histoire.