Peut-on empêcher les crimes de masses ?. La responsabilité de protéger à l'épreuve de la réalité
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- Nombre de pages90
- PrésentationBroché
- Poids0.13 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-87003-617-4
- EAN9782870036174
- Date de parution01/03/2013
- ÉditeurCouleur livres
Résumé
En 2005, l'Assemblée générale de l'ONU adoptait un texte controversé qui reconnaissait la responsabilité des Etats de protéger leurs populations contre les crimes de masses. En cas de défaillance de l'Etat, le texte précise que la communauté internationale a elle aussi une responsabilité, celle d'intervenir pour assurer par elle-même cette protection. Ce texte, s'il est une avancée réelle pour éviter de nouvelles tragédies comme au Biafra ou au Rwanda, pourrait amener à des dérives et des excès qui discréditeraient à jamais l'ONU.
Les exemples de la Côte-d'Ivoire en 2009 et de la Libye en 2011 accréditent l'idée que la responsabilité de protéger est en effet un outil délicat à utiliser.
Les exemples de la Côte-d'Ivoire en 2009 et de la Libye en 2011 accréditent l'idée que la responsabilité de protéger est en effet un outil délicat à utiliser.
En 2005, l'Assemblée générale de l'ONU adoptait un texte controversé qui reconnaissait la responsabilité des Etats de protéger leurs populations contre les crimes de masses. En cas de défaillance de l'Etat, le texte précise que la communauté internationale a elle aussi une responsabilité, celle d'intervenir pour assurer par elle-même cette protection. Ce texte, s'il est une avancée réelle pour éviter de nouvelles tragédies comme au Biafra ou au Rwanda, pourrait amener à des dérives et des excès qui discréditeraient à jamais l'ONU.
Les exemples de la Côte-d'Ivoire en 2009 et de la Libye en 2011 accréditent l'idée que la responsabilité de protéger est en effet un outil délicat à utiliser.
Les exemples de la Côte-d'Ivoire en 2009 et de la Libye en 2011 accréditent l'idée que la responsabilité de protéger est en effet un outil délicat à utiliser.