Petite Vie De Catherine Laboure. Voyante De La Rue Du Bac Et Servante Des Pauvres
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- Nombre de pages155
- PrésentationBroché
- Poids0.125 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-220-03185-3
- EAN9782220031859
- Date de parution01/10/1991
- CollectionPetite vie de...
- ÉditeurDDB
Résumé
Catherine Labouré, c'est la voyante qui a su garder l'incognito, non sans peine... tandis que sa " Médaille miraculeuse " se répandait : A plus d'un milliard d'exemplaires avant sa mort.
Sa sainteté serait restée méconnue si le dévoilement de ses apparitions ne l'avait mise sur un piédestal... après sa mort.
La sainteté des pauvres est souvent méprisée. Même dans sa famille religieuse, elle a été contestée : rêveuse, surfaite, selon ses détracteurs.
A la demande des Supérieurs Lazaristes, l'abbé Laurentin a passé cinq années à élucider sa vie, ses apparitions, qu'on avait multipliées et parfois déformées. Il rend justice à la sainteté profonde de cette paysanne tenace. Elle sut échapper à la gloire, envers et contre tout, pour rester une humble servante des pauvres jusqu'à sa mort. Après la Vie en deux volumes qu'il avait d'abord publiée, avec preuves à l'appui, l'abbé Laurentin livre ici une épure de l'humble et merveilleuse histoire d'une paysanne du XIX siècle, dont la châsse est visitée jusqu'à ce jour, rue du bas, par une foule venue des cinq continents... et par Jean-Paul II lui-même.
Sa leçon, méconnue, offre beaucoup à nous apprendre.
Catherine Labouré, c'est la voyante qui a su garder l'incognito, non sans peine... tandis que sa " Médaille miraculeuse " se répandait : A plus d'un milliard d'exemplaires avant sa mort.
Sa sainteté serait restée méconnue si le dévoilement de ses apparitions ne l'avait mise sur un piédestal... après sa mort.
La sainteté des pauvres est souvent méprisée. Même dans sa famille religieuse, elle a été contestée : rêveuse, surfaite, selon ses détracteurs.
A la demande des Supérieurs Lazaristes, l'abbé Laurentin a passé cinq années à élucider sa vie, ses apparitions, qu'on avait multipliées et parfois déformées. Il rend justice à la sainteté profonde de cette paysanne tenace. Elle sut échapper à la gloire, envers et contre tout, pour rester une humble servante des pauvres jusqu'à sa mort. Après la Vie en deux volumes qu'il avait d'abord publiée, avec preuves à l'appui, l'abbé Laurentin livre ici une épure de l'humble et merveilleuse histoire d'une paysanne du XIX siècle, dont la châsse est visitée jusqu'à ce jour, rue du bas, par une foule venue des cinq continents... et par Jean-Paul II lui-même.
Sa leçon, méconnue, offre beaucoup à nous apprendre.