Cet ouvrage interroge la réactivation de la chambre noire et du sténopé comme un moyen de retrouver la dimension "haptique" de l'image par la revalorisation du flou, de l'imprécis, etc. , mais aussi pour prendre à rebours la logique du "dernier cri" qui caractérise l'industrie et la culture du tout numérique. Ces formes primitives d'appareillage de prise de vues délivrent-elles des images véritablement singulières ? Est-ce que cette façon autre de faire image - façonnée par l'artisanal - nous montre une autre vision du monde ? Y-a-t-il une tournure révolutionnaire dans l'appropriation de ces moyens primitifs de prise de vue par les artistes contemporains ?
Cet ouvrage interroge la réactivation de la chambre noire et du sténopé comme un moyen de retrouver la dimension "haptique" de l'image par la revalorisation du flou, de l'imprécis, etc. , mais aussi pour prendre à rebours la logique du "dernier cri" qui caractérise l'industrie et la culture du tout numérique. Ces formes primitives d'appareillage de prise de vues délivrent-elles des images véritablement singulières ? Est-ce que cette façon autre de faire image - façonnée par l'artisanal - nous montre une autre vision du monde ? Y-a-t-il une tournure révolutionnaire dans l'appropriation de ces moyens primitifs de prise de vue par les artistes contemporains ?