Petit manuel de la campagne électorale ; Lettres à son frère Quintus I, 1 et 2
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- Nombre de pages253
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.51 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-251-44659-2
- EAN9782251446592
- Date de parution15/03/2017
- CollectionCommentario
- ÉditeurBelles Lettres
- TraducteurFrançois Prost
Résumé
En 64 avant J.-C., Marcus Cicéron est candidat au consulat. Son frère cadet Quintus rédige pour lui un Petit manuel de la campagne électorale, qui expose les rouages d'une élection à haut risque, et détaille les démarches attendues du candidat, offrant ainsi un tableau saisissant du système politique romain. Chemin faisant, il pose des questions toujours d'actualité : comment concilier séduction électorale et fidélité à soi-même et à ses principes ? Comment rassembler le plus grand nombre autour de sa candidature, et ménager les intérêts des diverses classes sociales ? Quelques années plus tard, Quintus dirige la province d'Asie : Marcus lui adresse alors deux longues lettres, qui examinent son exercice et brossent le portrait du gouverneur idéal, autour d'autres questions fondamentales : comment exercer un pouvoir absolu sans verser dans la tyrannie ? L'éducation intellectuelle peut-elle garantir la moralité du dirigeant et lui imposer le souci des valeurs humaines ?
En 64 avant J.-C., Marcus Cicéron est candidat au consulat. Son frère cadet Quintus rédige pour lui un Petit manuel de la campagne électorale, qui expose les rouages d'une élection à haut risque, et détaille les démarches attendues du candidat, offrant ainsi un tableau saisissant du système politique romain. Chemin faisant, il pose des questions toujours d'actualité : comment concilier séduction électorale et fidélité à soi-même et à ses principes ? Comment rassembler le plus grand nombre autour de sa candidature, et ménager les intérêts des diverses classes sociales ? Quelques années plus tard, Quintus dirige la province d'Asie : Marcus lui adresse alors deux longues lettres, qui examinent son exercice et brossent le portrait du gouverneur idéal, autour d'autres questions fondamentales : comment exercer un pouvoir absolu sans verser dans la tyrannie ? L'éducation intellectuelle peut-elle garantir la moralité du dirigeant et lui imposer le souci des valeurs humaines ?