Petit éloge des vacances

Par : Frédéric Martinez
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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.085 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-07-045220-0
  • EAN9782070452200
  • Date de parution30/05/2013
  • CollectionFolio 2
  • ÉditeurGallimard

Résumé

En vacances, il faut désapprendre les allées ratissées qu'empruntent nos vies au cordeau : le temps est nu. Le cri aigre des goélands, la rumeur stridente des cigales submergent la fureur des métropoles. L'air plus vif rompt les entraves que la routine a posées sur nos âmes. Le ciel se rapproche de nous. Nous voici libres. Tapis au creux du temps comme dans une combe, nous faisons le gros dos sous la lune et reprenons peu à peu possession de nos corps qu'ébrèchent les travaux et les jours.
Loin du béton, dans cette vacance qui nous rend à nous-mêmes, quelque chose doit arriver.
En vacances, il faut désapprendre les allées ratissées qu'empruntent nos vies au cordeau : le temps est nu. Le cri aigre des goélands, la rumeur stridente des cigales submergent la fureur des métropoles. L'air plus vif rompt les entraves que la routine a posées sur nos âmes. Le ciel se rapproche de nous. Nous voici libres. Tapis au creux du temps comme dans une combe, nous faisons le gros dos sous la lune et reprenons peu à peu possession de nos corps qu'ébrèchent les travaux et les jours.
Loin du béton, dans cette vacance qui nous rend à nous-mêmes, quelque chose doit arriver.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Belle écriture, fond creux
Pour une fois, je n’ai pas lu ce livre en continu. J’ai dégusté quelques chapitres de-ci de-là, au gré de ma fantaisie. Obéissant à l’auteur j’ai désappris les allées ratissées et rompu les entraves de la routine. J Les vacances sont un état d’esprit. Jouissons-en. Le style soigné de ces pensées donnent envie de s’y plonger dès les premières lignes. Hélas, très vite, j’ai trouvé certains passages un peu creux. Joliment écrits, joliment décrits, mais vides d’une véritable réflexion. Les sujets abordés manquent de relief, d’originalité (ha les jeunes femmes en tenue estivale…) C’est pourquoi j’ai préféré picorer quand l’envie m’en prenait. J’ai pris parti de goûter à l’écriture, aux mots justement choisis, aux figures de style, à la syntaxe parfaite… Et j’ai coché de nombreux passages séduisants. Aussi loin que je me souvienne, il y a le ciel et les tilleuls. Enormes et rassurants, ils ombrageaient la place de l’église, abritaient mes jeux de petit citadin en vacances. Dans leur ombre tutélaire, je lus Jules Verne, Balzac, Maurice Leblanc et le Journal de Mickey. Je me souviens des livres de poche aux pages colorées que mon oncle avait rangés dans le grenier de sa demeure… Et voilà bien ce qui m’a plu le plus : les passages où Frédéric Martinez plonge dans ses souvenirs de jeune lecteur. Emporté par son imagination, il vogue sur les mers australes, voyage de la terre à la lune, contemple les rives de l’Amazone… et nous fait rêver avec lui. Le ton est juste, l’écriture précise, les métaphores filées… on savoure… Un livre bien trop inégal pour être un coup de cœur, mais plaisant à lire en ces soirées d’été.
Pour une fois, je n’ai pas lu ce livre en continu. J’ai dégusté quelques chapitres de-ci de-là, au gré de ma fantaisie. Obéissant à l’auteur j’ai désappris les allées ratissées et rompu les entraves de la routine. J Les vacances sont un état d’esprit. Jouissons-en. Le style soigné de ces pensées donnent envie de s’y plonger dès les premières lignes. Hélas, très vite, j’ai trouvé certains passages un peu creux. Joliment écrits, joliment décrits, mais vides d’une véritable réflexion. Les sujets abordés manquent de relief, d’originalité (ha les jeunes femmes en tenue estivale…) C’est pourquoi j’ai préféré picorer quand l’envie m’en prenait. J’ai pris parti de goûter à l’écriture, aux mots justement choisis, aux figures de style, à la syntaxe parfaite… Et j’ai coché de nombreux passages séduisants. Aussi loin que je me souvienne, il y a le ciel et les tilleuls. Enormes et rassurants, ils ombrageaient la place de l’église, abritaient mes jeux de petit citadin en vacances. Dans leur ombre tutélaire, je lus Jules Verne, Balzac, Maurice Leblanc et le Journal de Mickey. Je me souviens des livres de poche aux pages colorées que mon oncle avait rangés dans le grenier de sa demeure… Et voilà bien ce qui m’a plu le plus : les passages où Frédéric Martinez plonge dans ses souvenirs de jeune lecteur. Emporté par son imagination, il vogue sur les mers australes, voyage de la terre à la lune, contemple les rives de l’Amazone… et nous fait rêver avec lui. Le ton est juste, l’écriture précise, les métaphores filées… on savoure… Un livre bien trop inégal pour être un coup de cœur, mais plaisant à lire en ces soirées d’été.
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