Petit dictionnaire de la littérature occitane du Moyen-Age.. Auteurs, oeuvres, lexiques
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- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions1,5 cm × 2,1 cm × 0,0 cm
- ISBN2-84269-722-7
- EAN9782842697228
- Date de parution01/01/2006
- ÉditeurPULM
Résumé
Dans son introduction, Paul Fabre explique la genèse de cet ouvrage : "Ces retrouvailles avec les oeuvres brillantes d'antan ne me suffirent bientôt plus. J'eus envie de faire partager mon plaisir. Le coup de coeur continuait donc, mais il s'accompagna bientôt du brin de raison que demande toute entreprise. Et cette raison réclama bien vite une forme, mais une forme commode, disponible, facilement communicable.
L'idée d'un dictionnaire était née". Je crois que s'expriment dans ce paragraphe plusieurs des qualités de Paul Fabre : son extrême sensibilité qui lui donne pour ainsi dire un accès direct aux anciens troubadours, son esprit pratique qui lui donne l'idée du "petit" dictionnaire et surtout, surtout, cette immense générosité qui fait qu'il n'est pas pour lui de vrai plaisir si les autres n'en ont pas leur part.
Une générosité qui va plus loin que ses contemporains, d'ailleurs, car je ne saurais dire combien il était difficile à Paul de refuser à quiconque l'entrée du "Petit dictionnaire" . Comme je m'étonnais de le voir consacrer un article à un auteur dont on ne savait rien et dont on ne possédait pas grand chose, il m'a répondu qu'il serait triste de laisser tomber dans l'oubli le nom de ce poète. Paul Fabre aurait fait un bien mauvais ange pour interdire la porte du paradis, fût-ce seulement celui des auteurs médiévaux occitans.
L'idée d'un dictionnaire était née". Je crois que s'expriment dans ce paragraphe plusieurs des qualités de Paul Fabre : son extrême sensibilité qui lui donne pour ainsi dire un accès direct aux anciens troubadours, son esprit pratique qui lui donne l'idée du "petit" dictionnaire et surtout, surtout, cette immense générosité qui fait qu'il n'est pas pour lui de vrai plaisir si les autres n'en ont pas leur part.
Une générosité qui va plus loin que ses contemporains, d'ailleurs, car je ne saurais dire combien il était difficile à Paul de refuser à quiconque l'entrée du "Petit dictionnaire" . Comme je m'étonnais de le voir consacrer un article à un auteur dont on ne savait rien et dont on ne possédait pas grand chose, il m'a répondu qu'il serait triste de laisser tomber dans l'oubli le nom de ce poète. Paul Fabre aurait fait un bien mauvais ange pour interdire la porte du paradis, fût-ce seulement celui des auteurs médiévaux occitans.
Dans son introduction, Paul Fabre explique la genèse de cet ouvrage : "Ces retrouvailles avec les oeuvres brillantes d'antan ne me suffirent bientôt plus. J'eus envie de faire partager mon plaisir. Le coup de coeur continuait donc, mais il s'accompagna bientôt du brin de raison que demande toute entreprise. Et cette raison réclama bien vite une forme, mais une forme commode, disponible, facilement communicable.
L'idée d'un dictionnaire était née". Je crois que s'expriment dans ce paragraphe plusieurs des qualités de Paul Fabre : son extrême sensibilité qui lui donne pour ainsi dire un accès direct aux anciens troubadours, son esprit pratique qui lui donne l'idée du "petit" dictionnaire et surtout, surtout, cette immense générosité qui fait qu'il n'est pas pour lui de vrai plaisir si les autres n'en ont pas leur part.
Une générosité qui va plus loin que ses contemporains, d'ailleurs, car je ne saurais dire combien il était difficile à Paul de refuser à quiconque l'entrée du "Petit dictionnaire" . Comme je m'étonnais de le voir consacrer un article à un auteur dont on ne savait rien et dont on ne possédait pas grand chose, il m'a répondu qu'il serait triste de laisser tomber dans l'oubli le nom de ce poète. Paul Fabre aurait fait un bien mauvais ange pour interdire la porte du paradis, fût-ce seulement celui des auteurs médiévaux occitans.
L'idée d'un dictionnaire était née". Je crois que s'expriment dans ce paragraphe plusieurs des qualités de Paul Fabre : son extrême sensibilité qui lui donne pour ainsi dire un accès direct aux anciens troubadours, son esprit pratique qui lui donne l'idée du "petit" dictionnaire et surtout, surtout, cette immense générosité qui fait qu'il n'est pas pour lui de vrai plaisir si les autres n'en ont pas leur part.
Une générosité qui va plus loin que ses contemporains, d'ailleurs, car je ne saurais dire combien il était difficile à Paul de refuser à quiconque l'entrée du "Petit dictionnaire" . Comme je m'étonnais de le voir consacrer un article à un auteur dont on ne savait rien et dont on ne possédait pas grand chose, il m'a répondu qu'il serait triste de laisser tomber dans l'oubli le nom de ce poète. Paul Fabre aurait fait un bien mauvais ange pour interdire la porte du paradis, fût-ce seulement celui des auteurs médiévaux occitans.