Perpignan, 1848-1939. La cité et les architectes

Par : Esteban Castañer Muñoz

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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • Poids0.272 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-36219-080-3
  • EAN9782362190803
  • Date de parution26/11/2013
  • CollectionFocus Patrimoine Languedoc
  • ÉditeurLieux Dits
  • PhotographeMarc Kérignard
  • CartographeVéronique Marzo-Marill

Résumé

La ville de Perpignan a connu au 19e et au 20e siècle un profond processus de transformation urbaine. La place forte sort de ses murs pour devenir une ville ouverte contemporaine. La cité militaire devenue ville bourgeoise du négoce et de l’industrie en quête d’un cadre de vie renouvelé nécessitera le concours d’architectes toujours plus nombreux. L’architecture révèle l’histoire de la ville : au 19e siècle des architectures officielles comme le Palais de Justice ou la Banque de France témoignent de la francisation de cette province tardivement rattachée à la France.
La Belle Époque, avec l’éclosion d’architectures privées, hôtels particulier, immeubles de rapport, aux accents éclectiques et Art nouveau, ou d’équipements modernes comme le cinéma et les grands magasins, marque une période de richesse et d’euphorie pour la cité. La période de l’Entre-deux-guerres, avec la création de nouveaux quartiers de maisons de ville, d’habitations bon marché et de nouveaux équipements modernes, confirme un développement urbain et architectural homogène et cohérent.
La pluralité de langages entre le modernisme avant-gardiste et le régionalisme, entre l’académisme et l’Art déco trouve une articulation cohérente dans le paysage urbain d’une cité marquée par un fort "esprit du lieu".
La ville de Perpignan a connu au 19e et au 20e siècle un profond processus de transformation urbaine. La place forte sort de ses murs pour devenir une ville ouverte contemporaine. La cité militaire devenue ville bourgeoise du négoce et de l’industrie en quête d’un cadre de vie renouvelé nécessitera le concours d’architectes toujours plus nombreux. L’architecture révèle l’histoire de la ville : au 19e siècle des architectures officielles comme le Palais de Justice ou la Banque de France témoignent de la francisation de cette province tardivement rattachée à la France.
La Belle Époque, avec l’éclosion d’architectures privées, hôtels particulier, immeubles de rapport, aux accents éclectiques et Art nouveau, ou d’équipements modernes comme le cinéma et les grands magasins, marque une période de richesse et d’euphorie pour la cité. La période de l’Entre-deux-guerres, avec la création de nouveaux quartiers de maisons de ville, d’habitations bon marché et de nouveaux équipements modernes, confirme un développement urbain et architectural homogène et cohérent.
La pluralité de langages entre le modernisme avant-gardiste et le régionalisme, entre l’académisme et l’Art déco trouve une articulation cohérente dans le paysage urbain d’une cité marquée par un fort "esprit du lieu".