Pérégrinations en Birmanie
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- Nombre de pages545
- PrésentationBroché
- Poids0.658 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,0 cm × 3,9 cm
- ISBN978-2-88086-434-7
- EAN9782880864347
- Date de parution19/11/2015
- CollectionObjectif terre
- ÉditeurOlizane (éditions)
- PréfacierMatthias Huber
Résumé
Engagé par un faux général lui promettant monts et merveilles à la cour du roi de Birmanie, Thomas-Anquetil quitte la France à la tête d’une trentaine d’artisans, chargé de créer un établissement industriel à Mandalay, capitale de l’Empire birman. Ils découvrent à leur arrivée qu’ils se sont fait gruger par le «général» d’Orgoni, un mythomane et ancien mercenaire qui en réalité n’avait, auprès du roi des Birmans, aucune des introductions dont il s’était prévalu.
L’auteur, lui-même ancien militaire au caractère aventurier et chasseur intrépide, passe ainsi plus de deux ans sur place dans l’attente d’un hypothétique dénouement de cette affaire, qui n’arrivera jamais... Il en profite pour organiser de multiples expéditions à travers la Birmanie, explorant des contrées encore jamais parcourues, auparavant, par un Occidental. Ecrit dans un style, truculent, alternant les descriptions de moeurs et coutumes du pays, de paysages et d’animaux, ce récit se caractérise aussi par un indéniable humour, notamment lorsque l’auteur narre les facéties et les pitreries de ses domestiques, ou encore ses luttes homériques avec moult bêtes féroces point que l’on se demande parfois si certaines de ses aventures ne lui ont pas été inspirées par le Baron de Münchhausen.
L’auteur, lui-même ancien militaire au caractère aventurier et chasseur intrépide, passe ainsi plus de deux ans sur place dans l’attente d’un hypothétique dénouement de cette affaire, qui n’arrivera jamais... Il en profite pour organiser de multiples expéditions à travers la Birmanie, explorant des contrées encore jamais parcourues, auparavant, par un Occidental. Ecrit dans un style, truculent, alternant les descriptions de moeurs et coutumes du pays, de paysages et d’animaux, ce récit se caractérise aussi par un indéniable humour, notamment lorsque l’auteur narre les facéties et les pitreries de ses domestiques, ou encore ses luttes homériques avec moult bêtes féroces point que l’on se demande parfois si certaines de ses aventures ne lui ont pas été inspirées par le Baron de Münchhausen.
Engagé par un faux général lui promettant monts et merveilles à la cour du roi de Birmanie, Thomas-Anquetil quitte la France à la tête d’une trentaine d’artisans, chargé de créer un établissement industriel à Mandalay, capitale de l’Empire birman. Ils découvrent à leur arrivée qu’ils se sont fait gruger par le «général» d’Orgoni, un mythomane et ancien mercenaire qui en réalité n’avait, auprès du roi des Birmans, aucune des introductions dont il s’était prévalu.
L’auteur, lui-même ancien militaire au caractère aventurier et chasseur intrépide, passe ainsi plus de deux ans sur place dans l’attente d’un hypothétique dénouement de cette affaire, qui n’arrivera jamais... Il en profite pour organiser de multiples expéditions à travers la Birmanie, explorant des contrées encore jamais parcourues, auparavant, par un Occidental. Ecrit dans un style, truculent, alternant les descriptions de moeurs et coutumes du pays, de paysages et d’animaux, ce récit se caractérise aussi par un indéniable humour, notamment lorsque l’auteur narre les facéties et les pitreries de ses domestiques, ou encore ses luttes homériques avec moult bêtes féroces point que l’on se demande parfois si certaines de ses aventures ne lui ont pas été inspirées par le Baron de Münchhausen.
L’auteur, lui-même ancien militaire au caractère aventurier et chasseur intrépide, passe ainsi plus de deux ans sur place dans l’attente d’un hypothétique dénouement de cette affaire, qui n’arrivera jamais... Il en profite pour organiser de multiples expéditions à travers la Birmanie, explorant des contrées encore jamais parcourues, auparavant, par un Occidental. Ecrit dans un style, truculent, alternant les descriptions de moeurs et coutumes du pays, de paysages et d’animaux, ce récit se caractérise aussi par un indéniable humour, notamment lorsque l’auteur narre les facéties et les pitreries de ses domestiques, ou encore ses luttes homériques avec moult bêtes féroces point que l’on se demande parfois si certaines de ses aventures ne lui ont pas été inspirées par le Baron de Münchhausen.