Penser l'ennemi, affronter l'exception
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.21 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-7071-9069-7
- EAN9782707190697
- Date de parution12/05/2016
- CollectionLa Découverte/Poche
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
Montée en puissance de la figure d'un nouvel " ennemi ", le terroriste, " combattant irrégulier " avec ou sans territoire, mise en place dans les démocraties de législations attentatoires aux libertés publiques, remise au goût du jour de la notion d'" état d'exception " : notre actualité la plus récente rendait nécessaire la réédition de ce livre, qui remonte aux sources intellectuelles de ces notions controversées, le juriste et philosophe allemand Carl Schmitt (1888-1985).
Montée en puissance de la figure d'un nouvel " ennemi ", le terroriste, " combattant irrégulier " sans territoire, mise en place dans les démocraties de législations attentatoires aux libertés publiques, remise au goût du jour de la notion d'" état d'exception " : notre actualité semble convoquer de manière frappante les analyses du célèbre philosophe et juriste allemand Carl Schmitt (1888-1985). Mais quel sens peut-on donner aux usages politico-théoriques de la pensée d'un auteur dont on connaît bien aujourd'hui le ralliement actif au nazisme ? Dans quelle mesure, et à quel prix, Carl Schmitt nous aide-t-il vraiment à penser notre présent ? Jean-Claude Monod s'efforce ici d'apporter des réponses à ces questions.
Il montre que des philosophes marqués à gauche ont ainsi puisé, eux aussi, chez le juriste le plus controversé du XXe siècle, les instruments d'une critique du nouvel impérialisme mondial. Mais Schmitt est-il vraiment le meilleur critique des confusions de la " guerre contre le terrorisme " ? N'est-il pas au contraire l'une des sources cachées des raisonnements juridiques qui servent aujourd'hui à légitimer la suspension des normes humanitaires et constitutionnelles les plus fondamentales ? Ce livre montre qu'on ne peut aujourd'hui ni ignorer ni lire naïvement ce penseur des limites de la raison libérale.
Montée en puissance de la figure d'un nouvel " ennemi ", le terroriste, " combattant irrégulier " sans territoire, mise en place dans les démocraties de législations attentatoires aux libertés publiques, remise au goût du jour de la notion d'" état d'exception " : notre actualité semble convoquer de manière frappante les analyses du célèbre philosophe et juriste allemand Carl Schmitt (1888-1985). Mais quel sens peut-on donner aux usages politico-théoriques de la pensée d'un auteur dont on connaît bien aujourd'hui le ralliement actif au nazisme ? Dans quelle mesure, et à quel prix, Carl Schmitt nous aide-t-il vraiment à penser notre présent ? Jean-Claude Monod s'efforce ici d'apporter des réponses à ces questions.
Il montre que des philosophes marqués à gauche ont ainsi puisé, eux aussi, chez le juriste le plus controversé du XXe siècle, les instruments d'une critique du nouvel impérialisme mondial. Mais Schmitt est-il vraiment le meilleur critique des confusions de la " guerre contre le terrorisme " ? N'est-il pas au contraire l'une des sources cachées des raisonnements juridiques qui servent aujourd'hui à légitimer la suspension des normes humanitaires et constitutionnelles les plus fondamentales ? Ce livre montre qu'on ne peut aujourd'hui ni ignorer ni lire naïvement ce penseur des limites de la raison libérale.
Montée en puissance de la figure d'un nouvel " ennemi ", le terroriste, " combattant irrégulier " avec ou sans territoire, mise en place dans les démocraties de législations attentatoires aux libertés publiques, remise au goût du jour de la notion d'" état d'exception " : notre actualité la plus récente rendait nécessaire la réédition de ce livre, qui remonte aux sources intellectuelles de ces notions controversées, le juriste et philosophe allemand Carl Schmitt (1888-1985).
Montée en puissance de la figure d'un nouvel " ennemi ", le terroriste, " combattant irrégulier " sans territoire, mise en place dans les démocraties de législations attentatoires aux libertés publiques, remise au goût du jour de la notion d'" état d'exception " : notre actualité semble convoquer de manière frappante les analyses du célèbre philosophe et juriste allemand Carl Schmitt (1888-1985). Mais quel sens peut-on donner aux usages politico-théoriques de la pensée d'un auteur dont on connaît bien aujourd'hui le ralliement actif au nazisme ? Dans quelle mesure, et à quel prix, Carl Schmitt nous aide-t-il vraiment à penser notre présent ? Jean-Claude Monod s'efforce ici d'apporter des réponses à ces questions.
Il montre que des philosophes marqués à gauche ont ainsi puisé, eux aussi, chez le juriste le plus controversé du XXe siècle, les instruments d'une critique du nouvel impérialisme mondial. Mais Schmitt est-il vraiment le meilleur critique des confusions de la " guerre contre le terrorisme " ? N'est-il pas au contraire l'une des sources cachées des raisonnements juridiques qui servent aujourd'hui à légitimer la suspension des normes humanitaires et constitutionnelles les plus fondamentales ? Ce livre montre qu'on ne peut aujourd'hui ni ignorer ni lire naïvement ce penseur des limites de la raison libérale.
Montée en puissance de la figure d'un nouvel " ennemi ", le terroriste, " combattant irrégulier " sans territoire, mise en place dans les démocraties de législations attentatoires aux libertés publiques, remise au goût du jour de la notion d'" état d'exception " : notre actualité semble convoquer de manière frappante les analyses du célèbre philosophe et juriste allemand Carl Schmitt (1888-1985). Mais quel sens peut-on donner aux usages politico-théoriques de la pensée d'un auteur dont on connaît bien aujourd'hui le ralliement actif au nazisme ? Dans quelle mesure, et à quel prix, Carl Schmitt nous aide-t-il vraiment à penser notre présent ? Jean-Claude Monod s'efforce ici d'apporter des réponses à ces questions.
Il montre que des philosophes marqués à gauche ont ainsi puisé, eux aussi, chez le juriste le plus controversé du XXe siècle, les instruments d'une critique du nouvel impérialisme mondial. Mais Schmitt est-il vraiment le meilleur critique des confusions de la " guerre contre le terrorisme " ? N'est-il pas au contraire l'une des sources cachées des raisonnements juridiques qui servent aujourd'hui à légitimer la suspension des normes humanitaires et constitutionnelles les plus fondamentales ? Ce livre montre qu'on ne peut aujourd'hui ni ignorer ni lire naïvement ce penseur des limites de la raison libérale.















