Penser, fabriquer, gouverner les territoires. Le Sénégal à l'épreuve du développement territorial
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- Nombre de pages420
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.652 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-21231-9
- EAN9782343212319
- Date de parution04/11/2020
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierLat Soucabé Mbow
- PostfacierBoubacar Ba
Résumé
La fabrication des territoires du Sénégal est un processus au long cours qui remonte d'avant la présence coloniale. La matrice historico-spatiale qui commande la structure de l'administration territoriale a fortement évolué depuis l'accession de ce pays à la souveraineté internationale. Depuis 2013, la réorganisation du territoire national et son réaménagement, adossés à la réforme territoriale appelée "Acte III de la décentralisation", au "Plan Sénégal Emergent3 (PSE) et à l'adoption d'un nouveau "Plan national d'aménagement et de développement territorial" (PNADT), engagent une rupture de paradigme à la fois systémique et systématique.
Il s'agit de répondre aux défis de la viabilité, de la compétitivité et du développement durable de territoires qui se réorganisent, se requalifient et se recomposent sous l'effet de facteurs sociaux endogènes et de pressions économique et climatique exogènes. Ces évolutions se déroulent sous le contrôle de l'Etat (parfois sans son contrôle) et les politiques publiques se territorialisent donnant aux collectivités territoriales une place incontournable dans les processus de validation politique, institutionnelle et citoyenne des projets de territoire.
Ces derniers s'exécutent aujourd'hui à l'échelle des terroirs et peut-être, demain, à l'échelle de bassins territoriaux associés en intercommunalité, en interterritorialité, en co-territorialité ou en transterritorialité.
Il s'agit de répondre aux défis de la viabilité, de la compétitivité et du développement durable de territoires qui se réorganisent, se requalifient et se recomposent sous l'effet de facteurs sociaux endogènes et de pressions économique et climatique exogènes. Ces évolutions se déroulent sous le contrôle de l'Etat (parfois sans son contrôle) et les politiques publiques se territorialisent donnant aux collectivités territoriales une place incontournable dans les processus de validation politique, institutionnelle et citoyenne des projets de territoire.
Ces derniers s'exécutent aujourd'hui à l'échelle des terroirs et peut-être, demain, à l'échelle de bassins territoriaux associés en intercommunalité, en interterritorialité, en co-territorialité ou en transterritorialité.
La fabrication des territoires du Sénégal est un processus au long cours qui remonte d'avant la présence coloniale. La matrice historico-spatiale qui commande la structure de l'administration territoriale a fortement évolué depuis l'accession de ce pays à la souveraineté internationale. Depuis 2013, la réorganisation du territoire national et son réaménagement, adossés à la réforme territoriale appelée "Acte III de la décentralisation", au "Plan Sénégal Emergent3 (PSE) et à l'adoption d'un nouveau "Plan national d'aménagement et de développement territorial" (PNADT), engagent une rupture de paradigme à la fois systémique et systématique.
Il s'agit de répondre aux défis de la viabilité, de la compétitivité et du développement durable de territoires qui se réorganisent, se requalifient et se recomposent sous l'effet de facteurs sociaux endogènes et de pressions économique et climatique exogènes. Ces évolutions se déroulent sous le contrôle de l'Etat (parfois sans son contrôle) et les politiques publiques se territorialisent donnant aux collectivités territoriales une place incontournable dans les processus de validation politique, institutionnelle et citoyenne des projets de territoire.
Ces derniers s'exécutent aujourd'hui à l'échelle des terroirs et peut-être, demain, à l'échelle de bassins territoriaux associés en intercommunalité, en interterritorialité, en co-territorialité ou en transterritorialité.
Il s'agit de répondre aux défis de la viabilité, de la compétitivité et du développement durable de territoires qui se réorganisent, se requalifient et se recomposent sous l'effet de facteurs sociaux endogènes et de pressions économique et climatique exogènes. Ces évolutions se déroulent sous le contrôle de l'Etat (parfois sans son contrôle) et les politiques publiques se territorialisent donnant aux collectivités territoriales une place incontournable dans les processus de validation politique, institutionnelle et citoyenne des projets de territoire.
Ces derniers s'exécutent aujourd'hui à l'échelle des terroirs et peut-être, demain, à l'échelle de bassins territoriaux associés en intercommunalité, en interterritorialité, en co-territorialité ou en transterritorialité.