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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- Poids0.222 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,1 cm × 0,2 cm
- ISBN2-86274-400-X
- EAN9782862744001
- Date de parution01/11/1995
- Collectionles pensees
- ÉditeurCherche-Midi (Le)
Résumé
S'appeler Marx et passer à la postérité pour avoir fait du désordre un art de vivre, tel est l'exploit peu commun qu'ont réussi Groucho et ses frères qui s'étaient partagé équitablement les sept péchés capitaux et quelques autres vices bien choisis. Dialogues de films, extraits de correspondance, d'articles, d'émissions radiophoniques ou de télévision : la folie et le génie des frères Marx éclatent à chaque page de leurs Pensées, répliques et anecdotes, dont certains étaient inédits en français.
Ces maîtres en provocation et dérision étaient identiques à eux-mêmes à la ville comme à la scène, et leur humour ne faisait jamais relâche. Ils traquaient avec délectation et acharnement la bonne conscience et le puritanisme de leurs contemporains. Ils ont ainsi réussi à élever l'imperinence au rang d'un art véritable. -Le propriétaire a encore téléphoné. Il veut que vous lui payiez son loyer. -Moi, je devrais payer son loyer ? Je n'arrive déja pas à payer le mien.
Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une femme sans songer à fonder une famille. Nous avons payé l'arbitre pour qu'il te déclare vainqueur ; nous avons payé ton adversaire pour qu'il te laisse gagner. Le reste dépend de toi. Edition établie par Pierre Drachline et Jérémie Gazeau
Ces maîtres en provocation et dérision étaient identiques à eux-mêmes à la ville comme à la scène, et leur humour ne faisait jamais relâche. Ils traquaient avec délectation et acharnement la bonne conscience et le puritanisme de leurs contemporains. Ils ont ainsi réussi à élever l'imperinence au rang d'un art véritable. -Le propriétaire a encore téléphoné. Il veut que vous lui payiez son loyer. -Moi, je devrais payer son loyer ? Je n'arrive déja pas à payer le mien.
Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une femme sans songer à fonder une famille. Nous avons payé l'arbitre pour qu'il te déclare vainqueur ; nous avons payé ton adversaire pour qu'il te laisse gagner. Le reste dépend de toi. Edition établie par Pierre Drachline et Jérémie Gazeau
S'appeler Marx et passer à la postérité pour avoir fait du désordre un art de vivre, tel est l'exploit peu commun qu'ont réussi Groucho et ses frères qui s'étaient partagé équitablement les sept péchés capitaux et quelques autres vices bien choisis. Dialogues de films, extraits de correspondance, d'articles, d'émissions radiophoniques ou de télévision : la folie et le génie des frères Marx éclatent à chaque page de leurs Pensées, répliques et anecdotes, dont certains étaient inédits en français.
Ces maîtres en provocation et dérision étaient identiques à eux-mêmes à la ville comme à la scène, et leur humour ne faisait jamais relâche. Ils traquaient avec délectation et acharnement la bonne conscience et le puritanisme de leurs contemporains. Ils ont ainsi réussi à élever l'imperinence au rang d'un art véritable. -Le propriétaire a encore téléphoné. Il veut que vous lui payiez son loyer. -Moi, je devrais payer son loyer ? Je n'arrive déja pas à payer le mien.
Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une femme sans songer à fonder une famille. Nous avons payé l'arbitre pour qu'il te déclare vainqueur ; nous avons payé ton adversaire pour qu'il te laisse gagner. Le reste dépend de toi. Edition établie par Pierre Drachline et Jérémie Gazeau
Ces maîtres en provocation et dérision étaient identiques à eux-mêmes à la ville comme à la scène, et leur humour ne faisait jamais relâche. Ils traquaient avec délectation et acharnement la bonne conscience et le puritanisme de leurs contemporains. Ils ont ainsi réussi à élever l'imperinence au rang d'un art véritable. -Le propriétaire a encore téléphoné. Il veut que vous lui payiez son loyer. -Moi, je devrais payer son loyer ? Je n'arrive déja pas à payer le mien.
Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une femme sans songer à fonder une famille. Nous avons payé l'arbitre pour qu'il te déclare vainqueur ; nous avons payé ton adversaire pour qu'il te laisse gagner. Le reste dépend de toi. Edition établie par Pierre Drachline et Jérémie Gazeau