Dans Peine des faunes, les portraits de femmes sont sensibles, forts, le féminisme, vibrant et porté par une plume parfois incantatoire née sous l'étoile dickinsonienne. Pourtant, la dernière partie du livre le fait basculer dans une dystopie radicale, écologique, sans aucune crédibilité ni finesse. Toute la délicatesse des deux premiers tiers est ainsi balayée par cet environnementaliste aux raccourcis choquants (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/09/19/peine-des-faunes-annie-lulu/)
Dans Peine des faunes, les portraits de femmes sont sensibles, forts, le féminisme, vibrant et porté par une plume parfois incantatoire née sous l'étoile dickinsonienne. Pourtant, la dernière partie du livre le fait basculer dans une dystopie radicale, écologique, sans aucune crédibilité ni finesse. Toute la délicatesse des deux premiers tiers est ainsi balayée par cet environnementaliste aux raccourcis choquants (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/09/19/peine-des-faunes-annie-lulu/)