Pauvreté des ménages et accès aux soins de santé en Afrique de l'Ouest. Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Ghana, Mali et Togo

Par : Bernard Kouassi

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  • Nombre de pages285
  • PrésentationBroché
  • Poids0.465 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-84586-969-1
  • EAN9782845869691
  • Date de parution01/04/2008
  • CollectionEconomie et développement
  • ÉditeurKarthala

Résumé

Les populations de l'Afrique de l'Ouest connaissent de réelles difficultés à accéder aux soins de santé. conséquence de la pauvreté qui atteint beaucoup de ménages. Or sans une bonne santé et une meilleure alimentation. aucun développement solide ne peut être assuré. L'argument développé dans cet ouvrage se focalise sur le fait que les réformes macro-économiques menées par les États dans le cadre des différents programmes d'ajustement structurel ne favorisent pas, malgré leurs résultats positifs sur la croissance, une meilleure redistribution des richesses.
Des réformes déresponsabilisent I'Etat sur ses missions essentielles comme, par exemple, la nécessité d'assurer de meilleurs services publics aux populations. La diminution des dépenses publiques rejaillit sur la population, et notamment sur les couches défavorisées, qui consacrent d'abord leurs maigres revenus à la satisfaction des besoins de base, notamment alimentaires. Ainsi les montants alloués à la satisfaction des autres besoins des ménages sont plus faibles.
La part réservée à la santé reste en particulier insignifiante
Les populations de l'Afrique de l'Ouest connaissent de réelles difficultés à accéder aux soins de santé. conséquence de la pauvreté qui atteint beaucoup de ménages. Or sans une bonne santé et une meilleure alimentation. aucun développement solide ne peut être assuré. L'argument développé dans cet ouvrage se focalise sur le fait que les réformes macro-économiques menées par les États dans le cadre des différents programmes d'ajustement structurel ne favorisent pas, malgré leurs résultats positifs sur la croissance, une meilleure redistribution des richesses.
Des réformes déresponsabilisent I'Etat sur ses missions essentielles comme, par exemple, la nécessité d'assurer de meilleurs services publics aux populations. La diminution des dépenses publiques rejaillit sur la population, et notamment sur les couches défavorisées, qui consacrent d'abord leurs maigres revenus à la satisfaction des besoins de base, notamment alimentaires. Ainsi les montants alloués à la satisfaction des autres besoins des ménages sont plus faibles.
La part réservée à la santé reste en particulier insignifiante