Dans un train filant vers Heidelberg en Allemagne, la cinquantaine dans la lunette Clotilde déroule les fragments d’une vie, ses passions, des souvenirs posés là, léger et grave à la fois, éclairés bien souvent.
Un exercice de haute volée décapant de liberté, trempée dans l’encre d’un humour cinglant d’auto-dérision, un sens de la tournure acéré, cette faculté à broyer le réel en confetti, les relations, les amours impossible, ces illusions qui nous illuminent, l’enfance et les chimères du passé.
Pauvre folle, comme le bazar incisif et détonnant d’une vie qui s’étale par petites touches entre candeur et clairvoyance, patchwork délicieux de lucidité comme d’intelligence, qui dit avec une jouissance corrosive les contours d’une femme et ses complexités à lucarne du monde d’aujourd’hui.
Dans un train filant vers Heidelberg en Allemagne, la cinquantaine dans la lunette Clotilde déroule les fragments d’une vie, ses passions, des souvenirs posés là, léger et grave à la fois, éclairés bien souvent.
Un exercice de haute volée décapant de liberté, trempée dans l’encre d’un humour cinglant d’auto-dérision, un sens de la tournure acéré, cette faculté à broyer le réel en confetti, les relations, les amours impossible, ces illusions qui nous illuminent, l’enfance et les chimères du passé.
Pauvre folle, comme le bazar incisif et détonnant d’une vie qui s’étale par petites touches entre candeur et clairvoyance, patchwork délicieux de lucidité comme d’intelligence, qui dit avec une jouissance corrosive les contours d’une femme et ses complexités à lucarne du monde d’aujourd’hui.