Passion d'un métier L'imprimerie. De La Laborieuse à l'Express

Par : Bruno Lancelot

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  • Nombre de pages331
  • PrésentationBroché
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-296-06942-8
  • EAN9782296069428
  • Date de parution01/04/2009
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Né en 1934, avant-dernier d'une famille de 14 enfants, Bruno Lancelot baignait dans cette ambiance riche de famille nombreuse sans trop se préoccuper de l'avenir. Les études, de ce fait, passaient au second plan. Dans ses écrits, sa mère disait de lui lorsqu'il était enfant : " artiste, rêveur, le beau l'attire, [...] il aime l'ouvrage bien faite. " Raccourci extrême s'il en est, mais dans lequel se retrouve sans doute la quintessence de ce récit. " Est-ce que l'imprimerie t'intéresserait ? " lui dit un jour son père qui ne savait trop que faire de lui. Sans diplôme mais curieux de la vie et du comment des choses, cette question provoqua un déclic. Mais, dire " oui ", c'était apposer au bas d'une feuille blanche la signature d'un engagement pour une carrière dont il ne connaissait ni les tenants, ni les aboutissants. Où cela allait-il le mener ? À 19 ans il chausse ses bottes d'apprenti typographe pour gravir un à un les échelons des Métiers Graphiques : typographie, lithographie, offset, École Estienne, catalogue VPC, presse mensuelle et enfin presse hebdomadaire. Chaque échelon est pour lui une découverte. Découvertes certes, mais à travers chacune d'elle on peut lire aussi : écoutes, recherches, échecs, confrontations, convictions. Très tôt, il se rend compte que retrousser ses manches n'est pas suffisant pour obtenir des rotatives un résultat imprimé fiable qui soit digne de celui qui l'achète. L'aventure devient vite pour lui l'objet d'une passion : passion qu'un jour, un ami de la profession lui conseillera d'écrire.
Né en 1934, avant-dernier d'une famille de 14 enfants, Bruno Lancelot baignait dans cette ambiance riche de famille nombreuse sans trop se préoccuper de l'avenir. Les études, de ce fait, passaient au second plan. Dans ses écrits, sa mère disait de lui lorsqu'il était enfant : " artiste, rêveur, le beau l'attire, [...] il aime l'ouvrage bien faite. " Raccourci extrême s'il en est, mais dans lequel se retrouve sans doute la quintessence de ce récit. " Est-ce que l'imprimerie t'intéresserait ? " lui dit un jour son père qui ne savait trop que faire de lui. Sans diplôme mais curieux de la vie et du comment des choses, cette question provoqua un déclic. Mais, dire " oui ", c'était apposer au bas d'une feuille blanche la signature d'un engagement pour une carrière dont il ne connaissait ni les tenants, ni les aboutissants. Où cela allait-il le mener ? À 19 ans il chausse ses bottes d'apprenti typographe pour gravir un à un les échelons des Métiers Graphiques : typographie, lithographie, offset, École Estienne, catalogue VPC, presse mensuelle et enfin presse hebdomadaire. Chaque échelon est pour lui une découverte. Découvertes certes, mais à travers chacune d'elle on peut lire aussi : écoutes, recherches, échecs, confrontations, convictions. Très tôt, il se rend compte que retrousser ses manches n'est pas suffisant pour obtenir des rotatives un résultat imprimé fiable qui soit digne de celui qui l'achète. L'aventure devient vite pour lui l'objet d'une passion : passion qu'un jour, un ami de la profession lui conseillera d'écrire.