La transition appelle la transe, telle est l'hypothèse de ce livre engagé dans la réflexion sur le monde à naître dans les ruines de l'Anthropocène. Composé en dix-sept tableaux, l'auteur s'appuie sur trois traditions occidentales – l'anthropologie, la recherche théâtrale et la philosophie pragmatiste – pour suggérer la composition d'un art de transe pour le XXIe siècle. A parcourir les passages entre Nord et Sud, à considérer les résurgences de traditions marginalisées ou occultées, à reconnaître les luttes des peuples autochtones et leurs interpellations décoloniales, il interroge la possibilité d'un monde attentionné ; un monde où la transe porte entre le visible et l'invisible, et prend également une valeur métaphorique : est-il possible que l'Occident entre en transe ? Est-il possible qu'il s'ouvre à une écologie politique des savoirs et des différences pour façonner une réalité acceptable pour la transition écologique des sociétés modernes, vers un monde à plusieurs mondes ?
La transition appelle la transe, telle est l'hypothèse de ce livre engagé dans la réflexion sur le monde à naître dans les ruines de l'Anthropocène. Composé en dix-sept tableaux, l'auteur s'appuie sur trois traditions occidentales – l'anthropologie, la recherche théâtrale et la philosophie pragmatiste – pour suggérer la composition d'un art de transe pour le XXIe siècle. A parcourir les passages entre Nord et Sud, à considérer les résurgences de traditions marginalisées ou occultées, à reconnaître les luttes des peuples autochtones et leurs interpellations décoloniales, il interroge la possibilité d'un monde attentionné ; un monde où la transe porte entre le visible et l'invisible, et prend également une valeur métaphorique : est-il possible que l'Occident entre en transe ? Est-il possible qu'il s'ouvre à une écologie politique des savoirs et des différences pour façonner une réalité acceptable pour la transition écologique des sociétés modernes, vers un monde à plusieurs mondes ?