Partages de la perspective
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- Nombre de pages283
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.64 kg
- Dimensions15,4 cm × 23,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-213-71663-3
- EAN9782213716633
- Date de parution26/02/2020
- CollectionOuvertures
- ÉditeurFayard
Résumé
"C'est une question de point de vue...". On associe aujourd'hui la perspective à l'individualisme, à l'affirmation d'une vérité privée et indépassable. C'est oublier la tradition de la perspectiva communis, celle qui fait de la perspective le vecteur d'un horizon commun. Au croisement de la science, de l'art et de la philosophie, le livre exhume une tradition que l'on se doit de redécouvrir : le point de vue, ce n'est pas seulement ce qui divise, c'est aussi ce qui se partage.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel. "C'est une question de point de vue...". On associe aujourd'hui la perspective à l'individualisme, à l'affirmation d'une vérité privée et indépassable. C'est oublier la tradition de la perspectiva communis, celle qui fait de la perspective le vecteur d'un horizon commun. Au croisement de la science, de l'art et de la philosophie, le livre exhume une tradition que l'on se doit de redécouvrir : le point de vue, ce n'est pas seulement ce qui divise, c'est aussi ce qui se partage.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel. "C'est une question de point de vue...". On associe aujourd'hui la perspective à l'individualisme, à l'affirmation d'une vérité privée et indépassable. C'est oublier la tradition de la perspectiva communis, celle qui fait de la perspective le vecteur d'un horizon commun. Au croisement de la science, de l'art et de la philosophie, le livre exhume une tradition que l'on se doit de redécouvrir : le point de vue, ce n'est pas seulement ce qui divise, c'est aussi ce qui se partage.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel.
"C'est une question de point de vue...". On associe aujourd'hui la perspective à l'individualisme, à l'affirmation d'une vérité privée et indépassable. C'est oublier la tradition de la perspectiva communis, celle qui fait de la perspective le vecteur d'un horizon commun. Au croisement de la science, de l'art et de la philosophie, le livre exhume une tradition que l'on se doit de redécouvrir : le point de vue, ce n'est pas seulement ce qui divise, c'est aussi ce qui se partage.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel. "C'est une question de point de vue...". On associe aujourd'hui la perspective à l'individualisme, à l'affirmation d'une vérité privée et indépassable. C'est oublier la tradition de la perspectiva communis, celle qui fait de la perspective le vecteur d'un horizon commun. Au croisement de la science, de l'art et de la philosophie, le livre exhume une tradition que l'on se doit de redécouvrir : le point de vue, ce n'est pas seulement ce qui divise, c'est aussi ce qui se partage.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel.
Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
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Au lieu d'incriminer le perspectivisme d'avoir fait le lit de la post-vérité, et de la perte d'une référence à un monde réel, il est temps de retrouver en quoi la perspective n'est pas qu'une affaire de relativisation, mais de réalisation. C'est à la perspective que nous devons notre perspicacité : "à travers" - voilà le mot-clé pour comprendre son opération. Une mise en regard d'enjeux anciens et contemporains, où s'entrecroisent les arts visuels, l'architecture, la phénoménologie et l'anthropologie sociale.
Autant de manières de faire l'éloge d'une perspective qui se décline invariablement au pluriel.