Pars theologica. Logique et théologique chez Boèce
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- Nombre de pages445
- PrésentationBroché
- Poids0.53 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-7116-1855-2
- EAN9782711618552
- Date de parution02/12/2008
- CollectionSic et Non
- ÉditeurVrin
Résumé
Né, sans doute à Rome, vers 476 après J.-C. et mort supplicié à Pavie en 524, Boèce, surtout connu pour ses traductions et commentaires des traités logiques d'Aristote et sa Consolation de Philosophie, écrite en prison, est également l'auteur de cinq traités théologiques, dont la place exacte dans l'ensemble de l'oeuvre reste à définir. Faut-il continuer de camper le portrait d'un Boèce en quelque sorte schizophrène ou peut-on découvrir un lien plus intime entre le commentateur néoplatonicien et le théologien chrétien et dégager ainsi un axe qui modifierait en profondeur la perspective à la fois méthodologique et philosophique de l'entreprise ? D'où les questions auxquelles tente de répondre l'ouvrage : en quoi la conception aristotélicienne de la philosophie spéculative influence-t-elle la constitution chez Boèce de la théologie comme pars theologica ? Quelle place y occupe la logique et quelle articulation observer entre les héritages patristique et philosophique ? Boèce ne se conçoit-il pas comme un nouvel Aristote, l'Aristote de la théologique chrétienne, et si oui ne convient-il pas de voir en lui, plus encore qu'un théologien, un théologicien ?
Né, sans doute à Rome, vers 476 après J.-C. et mort supplicié à Pavie en 524, Boèce, surtout connu pour ses traductions et commentaires des traités logiques d'Aristote et sa Consolation de Philosophie, écrite en prison, est également l'auteur de cinq traités théologiques, dont la place exacte dans l'ensemble de l'oeuvre reste à définir. Faut-il continuer de camper le portrait d'un Boèce en quelque sorte schizophrène ou peut-on découvrir un lien plus intime entre le commentateur néoplatonicien et le théologien chrétien et dégager ainsi un axe qui modifierait en profondeur la perspective à la fois méthodologique et philosophique de l'entreprise ? D'où les questions auxquelles tente de répondre l'ouvrage : en quoi la conception aristotélicienne de la philosophie spéculative influence-t-elle la constitution chez Boèce de la théologie comme pars theologica ? Quelle place y occupe la logique et quelle articulation observer entre les héritages patristique et philosophique ? Boèce ne se conçoit-il pas comme un nouvel Aristote, l'Aristote de la théologique chrétienne, et si oui ne convient-il pas de voir en lui, plus encore qu'un théologien, un théologicien ?




