Parmi les prisonniers de guerre en Russie et en Sibérie 1914-1920

Par : Elsa Brändström
    • Nombre de pages240
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.4 kg
    • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
    • ISBN978-2-918823-19-3
    • EAN9782918823193
    • Date de parution21/10/2019
    • CollectionLe temps des femmes
    • ÉditeurEditions Turquoise
    • TraducteurMarine Bastide
    • PréfacierPer Allan Olsson

    Résumé

    Ce témoignage rare est consacré au sort que connurent les prisonniers du camp des puissances centrales (allemands, austro-hongrois, turcs, bulgares…) pendant la Première Guerre mondiale. Plus de 2 300 000 d’entre eux furent envoyés du front jusqu’aux camps de transit russes, puis internés dans tout l’Empire, de la Russie occidentale jusqu’aux steppes d’Asie centrale et aux confins de la Sibérie. Beaucoup périrent de froid, de faim ou succombèrent au fléau des épidémies.
    Pendant cinq ans, Elsa Brändström visita nombre de ces camps comme déléguée de la Croix-Rouge suédoise et s’efforça inlassablement de procurer aux prisonniers soins médicaux, vivres, vêtements et objets de première nécessité. Elle leur apporta aussi un grand réconfort moral et contribua à leur rendre le sentiment de leur dignité d’être humain, ce qui lui valut le surnom d’Ange de Sibérie. Paru originellement en 1921 en suédois, puis en allemand, et publié en français pour la première fois, son texte décrit également l’organisation des aides apportées par les Etats, les particuliers et les associations en faveur des détenus.
    Un siècle après les traités de Versailles, cet ouvrage vient enrichir de façon décisive la mémoire de la Grande Guerre.
    Ce témoignage rare est consacré au sort que connurent les prisonniers du camp des puissances centrales (allemands, austro-hongrois, turcs, bulgares…) pendant la Première Guerre mondiale. Plus de 2 300 000 d’entre eux furent envoyés du front jusqu’aux camps de transit russes, puis internés dans tout l’Empire, de la Russie occidentale jusqu’aux steppes d’Asie centrale et aux confins de la Sibérie. Beaucoup périrent de froid, de faim ou succombèrent au fléau des épidémies.
    Pendant cinq ans, Elsa Brändström visita nombre de ces camps comme déléguée de la Croix-Rouge suédoise et s’efforça inlassablement de procurer aux prisonniers soins médicaux, vivres, vêtements et objets de première nécessité. Elle leur apporta aussi un grand réconfort moral et contribua à leur rendre le sentiment de leur dignité d’être humain, ce qui lui valut le surnom d’Ange de Sibérie. Paru originellement en 1921 en suédois, puis en allemand, et publié en français pour la première fois, son texte décrit également l’organisation des aides apportées par les Etats, les particuliers et les associations en faveur des détenus.
    Un siècle après les traités de Versailles, cet ouvrage vient enrichir de façon décisive la mémoire de la Grande Guerre.