Parmi les nazis
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- Nombre de pages274
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-87593-534-2
- EAN9782875935342
- Date de parution23/01/2025
- ÉditeurSamsa (Editions)
Résumé
J'ai souvent dit à mes amis de Zwickau que je ne tournerai jamais le dos à la ville, qu'il était important que les jeunes activistes montrent leur visage ici, qu'ils ne laissent pas ce coin de terre aux mains de ceux qui prêchent la violence. Je l'ai dit à mes parents aussi. Oui, même les journalistes. Dans le documentaire de la chaîne ARD sur les primo-volants, je le dis avec une assurance qui semble ne pas me gêner du tout.
"Je ne tourne pas le dos à Zwickau ! " Cependant, chaque jour, mes propres mots me semblent plus lourds. Ils ne sonnent plus pour moi comme un cri de guerre, niais de plus en plus comme un mantra que je me récite pour y croire encore moi-même... (extrait) Nous sommes pendant les années Covid. L'auteur de ce livre est un jeune activiste de gauche, il n'a pas connu la chute du mur de Berlin, mais réalise aujourd'hui que les nazis n'ont jamais disparu de l'histoire, ils sont parmi nous, nous sommes parmi eux.
Jakob Springfeld refuse le règne de la violence qui semble à nouveau poindre dans cet Occident qui, pourtant, semblait rêver de liberté et de démocratie. n'était-ce que des mirages dissimulant un monde de croissance et de pouvoir d'achat ? Ses parents semblent même nourrir, aujourd'hui, une sorte de nostalgie de l'Allemagne de l'Est, d'avant la chute du mur, lorsqu'elle était communiste. N'étions nous pas plus heureux, malgré un quotidien plus rude ? Dans une seconde partie, le lecteur pourra découvrir un court essai (Le fascisme est une philosophie) du philosophe Jacques Steiwer, qui permet de comprendre les rouages historiques qui ont porté les mouvements politiques à se radicaliser à droite.
Ces deux textes se complètent parfaitement pour nous faire prendre conscience des dangers des extrême, à l'heure où toute l'Europe semble vouloir effectuer un virage à droite.
"Je ne tourne pas le dos à Zwickau ! " Cependant, chaque jour, mes propres mots me semblent plus lourds. Ils ne sonnent plus pour moi comme un cri de guerre, niais de plus en plus comme un mantra que je me récite pour y croire encore moi-même... (extrait) Nous sommes pendant les années Covid. L'auteur de ce livre est un jeune activiste de gauche, il n'a pas connu la chute du mur de Berlin, mais réalise aujourd'hui que les nazis n'ont jamais disparu de l'histoire, ils sont parmi nous, nous sommes parmi eux.
Jakob Springfeld refuse le règne de la violence qui semble à nouveau poindre dans cet Occident qui, pourtant, semblait rêver de liberté et de démocratie. n'était-ce que des mirages dissimulant un monde de croissance et de pouvoir d'achat ? Ses parents semblent même nourrir, aujourd'hui, une sorte de nostalgie de l'Allemagne de l'Est, d'avant la chute du mur, lorsqu'elle était communiste. N'étions nous pas plus heureux, malgré un quotidien plus rude ? Dans une seconde partie, le lecteur pourra découvrir un court essai (Le fascisme est une philosophie) du philosophe Jacques Steiwer, qui permet de comprendre les rouages historiques qui ont porté les mouvements politiques à se radicaliser à droite.
Ces deux textes se complètent parfaitement pour nous faire prendre conscience des dangers des extrême, à l'heure où toute l'Europe semble vouloir effectuer un virage à droite.
J'ai souvent dit à mes amis de Zwickau que je ne tournerai jamais le dos à la ville, qu'il était important que les jeunes activistes montrent leur visage ici, qu'ils ne laissent pas ce coin de terre aux mains de ceux qui prêchent la violence. Je l'ai dit à mes parents aussi. Oui, même les journalistes. Dans le documentaire de la chaîne ARD sur les primo-volants, je le dis avec une assurance qui semble ne pas me gêner du tout.
"Je ne tourne pas le dos à Zwickau ! " Cependant, chaque jour, mes propres mots me semblent plus lourds. Ils ne sonnent plus pour moi comme un cri de guerre, niais de plus en plus comme un mantra que je me récite pour y croire encore moi-même... (extrait) Nous sommes pendant les années Covid. L'auteur de ce livre est un jeune activiste de gauche, il n'a pas connu la chute du mur de Berlin, mais réalise aujourd'hui que les nazis n'ont jamais disparu de l'histoire, ils sont parmi nous, nous sommes parmi eux.
Jakob Springfeld refuse le règne de la violence qui semble à nouveau poindre dans cet Occident qui, pourtant, semblait rêver de liberté et de démocratie. n'était-ce que des mirages dissimulant un monde de croissance et de pouvoir d'achat ? Ses parents semblent même nourrir, aujourd'hui, une sorte de nostalgie de l'Allemagne de l'Est, d'avant la chute du mur, lorsqu'elle était communiste. N'étions nous pas plus heureux, malgré un quotidien plus rude ? Dans une seconde partie, le lecteur pourra découvrir un court essai (Le fascisme est une philosophie) du philosophe Jacques Steiwer, qui permet de comprendre les rouages historiques qui ont porté les mouvements politiques à se radicaliser à droite.
Ces deux textes se complètent parfaitement pour nous faire prendre conscience des dangers des extrême, à l'heure où toute l'Europe semble vouloir effectuer un virage à droite.
"Je ne tourne pas le dos à Zwickau ! " Cependant, chaque jour, mes propres mots me semblent plus lourds. Ils ne sonnent plus pour moi comme un cri de guerre, niais de plus en plus comme un mantra que je me récite pour y croire encore moi-même... (extrait) Nous sommes pendant les années Covid. L'auteur de ce livre est un jeune activiste de gauche, il n'a pas connu la chute du mur de Berlin, mais réalise aujourd'hui que les nazis n'ont jamais disparu de l'histoire, ils sont parmi nous, nous sommes parmi eux.
Jakob Springfeld refuse le règne de la violence qui semble à nouveau poindre dans cet Occident qui, pourtant, semblait rêver de liberté et de démocratie. n'était-ce que des mirages dissimulant un monde de croissance et de pouvoir d'achat ? Ses parents semblent même nourrir, aujourd'hui, une sorte de nostalgie de l'Allemagne de l'Est, d'avant la chute du mur, lorsqu'elle était communiste. N'étions nous pas plus heureux, malgré un quotidien plus rude ? Dans une seconde partie, le lecteur pourra découvrir un court essai (Le fascisme est une philosophie) du philosophe Jacques Steiwer, qui permet de comprendre les rouages historiques qui ont porté les mouvements politiques à se radicaliser à droite.
Ces deux textes se complètent parfaitement pour nous faire prendre conscience des dangers des extrême, à l'heure où toute l'Europe semble vouloir effectuer un virage à droite.