Parlons téké. Langue et culture

Par : Edouard Etsio
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.385 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-7384-8315-7
  • EAN9782738483157
  • Date de parution01/05/2009
  • CollectionParlons...
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Les recherches sur le continent d'Afrique noire, axées sur l'aspect économique, attestent toutes de sa disparition complète de la carte du commerce mondial ; celles qui portent sur sa culture tendent, certes de façon relative, à démontrer le contraire. Si les nouvelles moeurs qui apparaissent sont, sinon copiées, du moins inspirées des modèles de l'Occident, le modèle culturel traditionnel africain, lui, résiste et conserve encore quelques-uns des traits de son originalité.
Ce livre montre, a travers le cas des Tékés du Conga-Brazzaville, ce qu'est cette culture, dans ses formes anciennes et actuelles. Il montre aussi le degré de souplesse de sa langue, à savoir le teké, et celui de son ouverture sur les autres langues : le mbochi, le kongo et surtout le français dont elle a su tirer un nombre impressionnant de mots.
Les recherches sur le continent d'Afrique noire, axées sur l'aspect économique, attestent toutes de sa disparition complète de la carte du commerce mondial ; celles qui portent sur sa culture tendent, certes de façon relative, à démontrer le contraire. Si les nouvelles moeurs qui apparaissent sont, sinon copiées, du moins inspirées des modèles de l'Occident, le modèle culturel traditionnel africain, lui, résiste et conserve encore quelques-uns des traits de son originalité.
Ce livre montre, a travers le cas des Tékés du Conga-Brazzaville, ce qu'est cette culture, dans ses formes anciennes et actuelles. Il montre aussi le degré de souplesse de sa langue, à savoir le teké, et celui de son ouverture sur les autres langues : le mbochi, le kongo et surtout le français dont elle a su tirer un nombre impressionnant de mots.