Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'éwé appartient au groupe de langues kwa de la grande famille négro-africaine Niger-Congo. Il est parlé par environ 3 millions de personnes au Sud-Est...
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Résumé
L'éwé appartient au groupe de langues kwa de la grande famille négro-africaine Niger-Congo. Il est parlé par environ 3 millions de personnes au Sud-Est du Ghana, 2 100 000 au Togo (où il est la principale langue véhiculaire et l'une des deux langues nationales, l'autre étant le kabiyè), 600 000 Ouatchi, 290 000 Mina et 210 000 Adélé, Akposso et Ahlon qui utilisent l'éwé en plus de leurs langues respectives, 780 000 Aja et 650 000 Mina, Pla et Peda du Bénin qui parlent ou au moins comprennent l'éwé, soit en tout environ 7 630 000 locuteurs. Enfin, l'éwé est écrit depuis 1848, date à laquelle parut le premier syllabaire du missionnaire allemand Lorenz Wolf, et la littérature éwé est aujourd'hui loin d'être négligeable. Jacques RONGIER, africaniste, titulaire d'un doctorat d'Etat (Description de l'éwé), a été enseignant et chercheur en linguistique de 1980 à 1998 au Togo, à Madagascar et en Côte d'Ivoire où il a résidé jusqu'en 2002. Ses recherches ont porté sur de nombreuses langues de ces pays (il est entre autres l'auteur d'Apprenons l'éwé (en neuf volumes), d'un Parlons sénoufo et d'un Parlons avikam). Depuis 2003, il est à l'Académie Royale à Phnom Penh où il décrit des langues du Cambodge et prépare un Parlons kouy