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  • Nombre de pages464
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.475 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-226-24529-8
  • EAN9782226245298
  • Date de parution30/01/2013
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurNathalie Cunnington

Résumé

En épousant Merrill par amour, le jeune avocat Paul Ross est entré dans le clan Darling avec son cortège de privilèges : un appartement sur Park Avenue, un job en or, des week-ends dans les Hamptons et des soirées avec le tout Manhattan. Mais bientôt Wall Street plonge et les grandes banques menacent de s'effondrer. Un scandale vient éclabousser la famille Darling, la propulsant sous les feux des médias et Paul doit choisir son camp.
Sauver sa peau en trahissant sa femme et les siens ou les protéger, coûte que coûte. Issue elle-même d'une grande famille de financiers, ancienne avocate et analyste chez Goldman Sachs, la jeune Cristina Alger connaît parfaitement le monde qu'elle décrit, cette haute société new-yorkaise, prisonnière de ses succès et de ses richesses. Dans ce Bûcher des Vanités du XXIe siècle, elle pose un regard subtil et implacable sur ces privilégiés dont la crise financière de 2008 va faire voler en éclat les certitudes.
Un roman étincelant, drôle et féroce, aussi tendu qu'un thriller, sur lequel plane l'ombre de Madoff.
En épousant Merrill par amour, le jeune avocat Paul Ross est entré dans le clan Darling avec son cortège de privilèges : un appartement sur Park Avenue, un job en or, des week-ends dans les Hamptons et des soirées avec le tout Manhattan. Mais bientôt Wall Street plonge et les grandes banques menacent de s'effondrer. Un scandale vient éclabousser la famille Darling, la propulsant sous les feux des médias et Paul doit choisir son camp.
Sauver sa peau en trahissant sa femme et les siens ou les protéger, coûte que coûte. Issue elle-même d'une grande famille de financiers, ancienne avocate et analyste chez Goldman Sachs, la jeune Cristina Alger connaît parfaitement le monde qu'elle décrit, cette haute société new-yorkaise, prisonnière de ses succès et de ses richesses. Dans ce Bûcher des Vanités du XXIe siècle, elle pose un regard subtil et implacable sur ces privilégiés dont la crise financière de 2008 va faire voler en éclat les certitudes.
Un roman étincelant, drôle et féroce, aussi tendu qu'un thriller, sur lequel plane l'ombre de Madoff.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.8/5
sur 19 notes dont 11 avis lecteurs
Bien mené
Voici une bonne surprise pour un roman acheté sur sa bonne mine et une quatrième de couverture tentante. L'écriture est claire et directe. L'action ne se déroule que sur une semaine à NY dans le milieu de la banque et des avocats d'affaire. On assiste à l'effondrement d'un édifice familial et financier où le cynisme dispute à la morale et à la fidélité. Le propos est centré sur les personnages de la high society et ne met que peu en lumière les "employés" qui finiront par payer les pots cassés. Un livre pour se féliciter de graviter dans d'autres sphères et un roman bien mené !
Voici une bonne surprise pour un roman acheté sur sa bonne mine et une quatrième de couverture tentante. L'écriture est claire et directe. L'action ne se déroule que sur une semaine à NY dans le milieu de la banque et des avocats d'affaire. On assiste à l'effondrement d'un édifice familial et financier où le cynisme dispute à la morale et à la fidélité. Le propos est centré sur les personnages de la high society et ne met que peu en lumière les "employés" qui finiront par payer les pots cassés. Un livre pour se féliciter de graviter dans d'autres sphères et un roman bien mené !
Voici une bonne surprise ...
... pour un roman acheté sur sa bonne mine et une quatrième de couverture attrayante. L'écriture est claire et directe. L'action se déroule sur une petite semaine à New-York dans le milieu des finances. On assiste à l'effondrement d'un édifice familial et financier où le cynisme dispute à la morale, la justice et la fidélité. Un livre pour se féliciter de graviter dans d'autres sphères et très bien mené !
... pour un roman acheté sur sa bonne mine et une quatrième de couverture attrayante. L'écriture est claire et directe. L'action se déroule sur une petite semaine à New-York dans le milieu des finances. On assiste à l'effondrement d'un édifice familial et financier où le cynisme dispute à la morale, la justice et la fidélité. Un livre pour se féliciter de graviter dans d'autres sphères et très bien mené !
Un roman comme un feuilleton...
Park Avenue s'inscrit dans la mouvance d'une littérature de "la crise", j'entends de la crise banquière et financière de l'automne 2008 qui a suivi celle des subprimes de l'été 2007. Une nouvelle génération d'auteurs s'inspire et s'imprègne de cet univers pour nous offrir, avec plus ou moins de succès, des romans où Wall Street plonge et emporte dans sa chute des grandes familles de financiers. Dans le roman de Cristina Alger nous suivons les Darling, belle et grande famille aux destins cousus de fil d'or. Le Patriarche règne sur ses proches comme sur son entreprise avec autant de bienveillance que de non-dits. Ses gendres, Paul et Adrian travaillent pour lui et entretiennent le maintien de la bienséance et des privilèges. Dans un climat de suspicions et de tractations financières, le scandale éclate et détruit sur son passage les alliances familiales, amoureuses et professionnelles. Ce texte, trop riche en détails sans importance et en personnages insignifiants, pourrait être le scénario d'un feuilleton pour la télévision. La lecture laisse une impression tiède car l'auteur n'est pas allée assez loin dans le récit de la chute de ces hommes et de ces femmes avides de pouvoir et d'argent.
Park Avenue s'inscrit dans la mouvance d'une littérature de "la crise", j'entends de la crise banquière et financière de l'automne 2008 qui a suivi celle des subprimes de l'été 2007. Une nouvelle génération d'auteurs s'inspire et s'imprègne de cet univers pour nous offrir, avec plus ou moins de succès, des romans où Wall Street plonge et emporte dans sa chute des grandes familles de financiers. Dans le roman de Cristina Alger nous suivons les Darling, belle et grande famille aux destins cousus de fil d'or. Le Patriarche règne sur ses proches comme sur son entreprise avec autant de bienveillance que de non-dits. Ses gendres, Paul et Adrian travaillent pour lui et entretiennent le maintien de la bienséance et des privilèges. Dans un climat de suspicions et de tractations financières, le scandale éclate et détruit sur son passage les alliances familiales, amoureuses et professionnelles. Ce texte, trop riche en détails sans importance et en personnages insignifiants, pourrait être le scénario d'un feuilleton pour la télévision. La lecture laisse une impression tiède car l'auteur n'est pas allée assez loin dans le récit de la chute de ces hommes et de ces femmes avides de pouvoir et d'argent.
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