Paris occulte. Alchimistes de l'ombre, spirites inspirés, mages sulfureux, traqueurs de fantômes et astrologues visionnaires
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- FormatBeau Livre
- Poids0.683 kg
- Dimensions20,2 cm × 28,2 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-37395-073-1
- EAN9782373950731
- Date de parution20/09/2018
- ÉditeurParigramme
Résumé
?Si Paris a toujours dialogué avec les forces de l'esprit, c'est au milieu du XIXe siècle que la fascination pour les sciences occultes prend une ampleur inédite. Dans les salons de la bonne société et jusqu'au palais des Tuileries - où Napoléon III tente d'entrer en contact avec son oncle -, on fait danser les tables pour communiquer avec l'au-delà et les fantômes. Tandis que les alchimistes s'enferment dans leurs cabinets, écrivains ésotériques, artistes médiums, photographes spirites, magnétiseurs et féministes spiritualistes se passionnent pour le surnaturel.
Parallèlement, des savants émérites auscultent des spectres dans leurs laboratoires et des personnages étranges s'adonnent à des messes noires. De la Grande Guerre à l'Occupation, la vogue occultiste s'enrichit d'un cortège de personnalités extraordinaires mues par un désir de magie et de mysticisme. Les visions des mages continuent de prospérer dans la littérature, l'art, la presse et la politique : astrologues, voyantes, fakirs, devins et oracles deviennent les gourous des temps modernes.
Parallèlement, des savants émérites auscultent des spectres dans leurs laboratoires et des personnages étranges s'adonnent à des messes noires. De la Grande Guerre à l'Occupation, la vogue occultiste s'enrichit d'un cortège de personnalités extraordinaires mues par un désir de magie et de mysticisme. Les visions des mages continuent de prospérer dans la littérature, l'art, la presse et la politique : astrologues, voyantes, fakirs, devins et oracles deviennent les gourous des temps modernes.
?Si Paris a toujours dialogué avec les forces de l'esprit, c'est au milieu du XIXe siècle que la fascination pour les sciences occultes prend une ampleur inédite. Dans les salons de la bonne société et jusqu'au palais des Tuileries - où Napoléon III tente d'entrer en contact avec son oncle -, on fait danser les tables pour communiquer avec l'au-delà et les fantômes. Tandis que les alchimistes s'enferment dans leurs cabinets, écrivains ésotériques, artistes médiums, photographes spirites, magnétiseurs et féministes spiritualistes se passionnent pour le surnaturel.
Parallèlement, des savants émérites auscultent des spectres dans leurs laboratoires et des personnages étranges s'adonnent à des messes noires. De la Grande Guerre à l'Occupation, la vogue occultiste s'enrichit d'un cortège de personnalités extraordinaires mues par un désir de magie et de mysticisme. Les visions des mages continuent de prospérer dans la littérature, l'art, la presse et la politique : astrologues, voyantes, fakirs, devins et oracles deviennent les gourous des temps modernes.
Parallèlement, des savants émérites auscultent des spectres dans leurs laboratoires et des personnages étranges s'adonnent à des messes noires. De la Grande Guerre à l'Occupation, la vogue occultiste s'enrichit d'un cortège de personnalités extraordinaires mues par un désir de magie et de mysticisme. Les visions des mages continuent de prospérer dans la littérature, l'art, la presse et la politique : astrologues, voyantes, fakirs, devins et oracles deviennent les gourous des temps modernes.