Il n’est pas nécessaire d’être un(e) fan de rap pour aimer le deuxième roman d’Angie Thomas.
Elle y démontre une nouvelle fois son talent de romancière, et si le style n’y est pas académique, il n’en demeure pas moins que son écriture nerveuse, rythmée, et efficace sait happer le lecteur.
L’histoire hyper-réaliste est d’une actualité brûlante : deux communautés antagonistes, un racisme larvé, bienvenue aux Etats Unis en 2020.
Dans ce contexte, ses personnages une nouvelle fois bien incarnés, sont vivants, intéressants , attachants et essayent tant bien que mal
de mener leur vie, de vivre leur rêve.
Ce qui n’est pas de tout repos apparemment, l’auteur n’épargnant pas les détails de violences verbales, physiques, peur au ventre latente, machisme révoltant, répression policière brutale.
Mais elle sait montrer aussi comment l’amitié, la solidarité, la famille, l’humour, la ténacité peuvent aider à chaque instant ces existences malmenées..
Et comment l’Amérique des uns n’est certainement pas celle des autres...
"On vise le ciel...ou rien!"
Il n’est pas nécessaire d’être un(e) fan de rap pour aimer le deuxième roman d’Angie Thomas.
Elle y démontre une nouvelle fois son talent de romancière, et si le style n’y est pas académique, il n’en demeure pas moins que son écriture nerveuse, rythmée, et efficace sait happer le lecteur.
L’histoire hyper-réaliste est d’une actualité brûlante : deux communautés antagonistes, un racisme larvé, bienvenue aux Etats Unis en 2020.
Dans ce contexte, ses personnages une nouvelle fois bien incarnés, sont vivants, intéressants , attachants et essayent tant bien que mal de mener leur vie, de vivre leur rêve.
Ce qui n’est pas de tout repos apparemment, l’auteur n’épargnant pas les détails de violences verbales, physiques, peur au ventre latente, machisme révoltant, répression policière brutale.
Mais elle sait montrer aussi comment l’amitié, la solidarité, la famille, l’humour, la ténacité peuvent aider à chaque instant ces existences malmenées..
Et comment l’Amérique des uns n’est certainement pas celle des autres...